Abidjan - Le président ivoirien, Alassane Ouattara, s'est entretenu avec le président du programme Energie pour l’Afrique, en l'occurrence le ministre d’Etat français Jean Louis Borloo, sur un gros plan d’électrification pour tous en faveur du continent africain.
"Nous avons continué à travailler sur un plan d’électrification de tout le continent africain qui est un programme d’électricité pour tous. Un programme que vous savez au cœur du président Ouattara pour la Côte d’Ivoire, pour la sous-région, mais aussi pour tout le continent africain", a déclaré M. Borloo, mardi, au sortir de l'audience avec M. Ouattara.
Pour Jean-Louis Borloo, il s’est agi de mettre en place cet organisme, de le travailler car l’énergie est un élément décisif du développement, de l’éducation, de l’accès à l’eau, du soin, de l’agroalimentaire, de toutes les activités en général.
M. Borloo qui a affirmé avoir été chargé par le président français, François Hollande de rencontrer spécifiquement à de nombreuses reprises le président Ouattara et ses ministres, a indiqué avoir eu déjà une réunion de travail la veille et le jour de l'audience même.
"D’ici une quinzaine de jours, nous continuerons. Nous bénéficions des conseils avisés de la BAD, la Banque africaine de développement, de son président Donald Kaberuka et toute son équipe", a dit le président d'Energie pour l’Afrique.
Jean-Louis Borloo a relevé que dans ce gros plan financé par l’extérieur, chaque pays a la latitude de choisir la nature et la qualité de l'énergie souhaitée. "Ce grand plan, c’est des moyens globaux mais c’est chaque pays en fonction de sa situation géographique, de sa nature forestière, de sa position, qui choisit sa qualité énergétique. C’est pas à l’organisation extérieure de le faire", a conclu le ministre d’Etat français.
Dans sa politique d’électrification rurale qui constitue l’un des axes majeurs de sa politique économique et sociale, le gouvernement ivoirien a engagé d’importants programmes. Le taux de couverture nationale avoisine actuellement 42% tandis que le taux d’accès à l’électricité est d’environ 98%.
(AIP)
ik/cmas
"Nous avons continué à travailler sur un plan d’électrification de tout le continent africain qui est un programme d’électricité pour tous. Un programme que vous savez au cœur du président Ouattara pour la Côte d’Ivoire, pour la sous-région, mais aussi pour tout le continent africain", a déclaré M. Borloo, mardi, au sortir de l'audience avec M. Ouattara.
Pour Jean-Louis Borloo, il s’est agi de mettre en place cet organisme, de le travailler car l’énergie est un élément décisif du développement, de l’éducation, de l’accès à l’eau, du soin, de l’agroalimentaire, de toutes les activités en général.
M. Borloo qui a affirmé avoir été chargé par le président français, François Hollande de rencontrer spécifiquement à de nombreuses reprises le président Ouattara et ses ministres, a indiqué avoir eu déjà une réunion de travail la veille et le jour de l'audience même.
"D’ici une quinzaine de jours, nous continuerons. Nous bénéficions des conseils avisés de la BAD, la Banque africaine de développement, de son président Donald Kaberuka et toute son équipe", a dit le président d'Energie pour l’Afrique.
Jean-Louis Borloo a relevé que dans ce gros plan financé par l’extérieur, chaque pays a la latitude de choisir la nature et la qualité de l'énergie souhaitée. "Ce grand plan, c’est des moyens globaux mais c’est chaque pays en fonction de sa situation géographique, de sa nature forestière, de sa position, qui choisit sa qualité énergétique. C’est pas à l’organisation extérieure de le faire", a conclu le ministre d’Etat français.
Dans sa politique d’électrification rurale qui constitue l’un des axes majeurs de sa politique économique et sociale, le gouvernement ivoirien a engagé d’importants programmes. Le taux de couverture nationale avoisine actuellement 42% tandis que le taux d’accès à l’électricité est d’environ 98%.
(AIP)
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