Gagnoa – Yéo Yacou, 19 ans, saigneur d’hévéa dans le village de Kokouézo, à cheval entre Gagnoa et Ouragahio, sur la route de Sinfra, a été condamné mardi à cinq ans de prison ferme par le tribunal de Gagnoa, pour attentat à la pudeur consommée sur une mineure de 12 ans.
Le jour des faits, le 22 janvier, Yéo Yacou croise, au détour d’un sentier, la victime, une élève qui revenait de l’école. A la vue de ses rondeurs, le manœuvre oublie le travail qui l’appelait. La libido le parcourt des orteils jusqu’au cerveau et le fait tressaillir. Aussitôt, il nourrit de noirs desseins à l’endroit de la jeune fille qui a ainsi le malheur de se retrouver au mauvais endroit, au mauvais moment.
Pour attirer sa proie, Yéo Yacou se met à la draguer en lui contant fleurette. Tout ceci, pour qu’elle baisse la garde. Soudain, il la fauche, se jette sur elle et lui fait subir de chauds et rapides coups de rein, jusqu’à l’étanchement de sa soif libidinale.
‘’Je reconnais avoir eu des rapports sexuels avec elle. Elle était consentante. Elle m’a même demandé 100 francs avant d’accepter mes avances’’, explique le prévenu au juge.
Le violeur de minette n’a pas pu distraire le tribunal par ces propos qui ne visaient justement qu’à le disculper face à la gravité de son acte. Lui qui, se sachant pourtant majeur, n’a porté son choix que sur une mineure, contre le gré de celle-ci et de surcroit au détour d’un sentier.
Il l’a appris à ses dépens et va séjourner durant cinq ans à la maison d’arrêt et de correction de
Gagnoa.
(AIP)
ja/kkp/ask
Le jour des faits, le 22 janvier, Yéo Yacou croise, au détour d’un sentier, la victime, une élève qui revenait de l’école. A la vue de ses rondeurs, le manœuvre oublie le travail qui l’appelait. La libido le parcourt des orteils jusqu’au cerveau et le fait tressaillir. Aussitôt, il nourrit de noirs desseins à l’endroit de la jeune fille qui a ainsi le malheur de se retrouver au mauvais endroit, au mauvais moment.
Pour attirer sa proie, Yéo Yacou se met à la draguer en lui contant fleurette. Tout ceci, pour qu’elle baisse la garde. Soudain, il la fauche, se jette sur elle et lui fait subir de chauds et rapides coups de rein, jusqu’à l’étanchement de sa soif libidinale.
‘’Je reconnais avoir eu des rapports sexuels avec elle. Elle était consentante. Elle m’a même demandé 100 francs avant d’accepter mes avances’’, explique le prévenu au juge.
Le violeur de minette n’a pas pu distraire le tribunal par ces propos qui ne visaient justement qu’à le disculper face à la gravité de son acte. Lui qui, se sachant pourtant majeur, n’a porté son choix que sur une mineure, contre le gré de celle-ci et de surcroit au détour d’un sentier.
Il l’a appris à ses dépens et va séjourner durant cinq ans à la maison d’arrêt et de correction de
Gagnoa.
(AIP)
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