En attendant le démarrage des prestations de la Couverture maladie universelle, (CMU) au plus tard en septembre, le Directeur général de la Caisse nationale d’Assurance maladie (CNAM), l’Institution de prévoyance sociale chargée de gérer et de réguler le système était face à la presse ce jour.
Bamba Karim a annoncé en présence du président du conseil d’administration et de la Directrice adjointe de SNEDAI, opérateur technique, que le processus d’enrôlement n’a pas encore atteint sa vitesse de croisière. A ce jour c’est environ 2000 personnes qui se sont enrôlées alors que le processus a démarré depuis le 30 décembre dernier avec le chef de l’Etat ivoirien.
Cependant, il est confiant de la multiplication de ce nombre dans les prochains jours avec la quarantaine de sites d’enrôlement ouverts aux populations sur un total de 59 prévus.
«Les personnes sont invitées à se rendre dans ces sites munies des pièces tels que, la carte nationale d’identité ou tout autre document officiel tenant lieu, l’extrait d’acte de naissance ou jugement supplétif, l’acte de mariage, l’acte d’autorité parentale pour les personnes âgées de moins de 18 ans et non accompagnées ou copie du reçu d’enrôlement de l’assuré payeur, la photocopie de la pièce d’identité de l’assuré, l’attestation de travail ou de présence au poste, le bulletin, décision, arrêté ou attestation de pension, » a rappelé Bamba Karim.
Plusieurs étapes sont à franchir en vue de permettre aux populations de bénéficier effectivement de la prise en charge de leurs soins de santé. Il s’agit selon le Directeur général de la phase d’affiliation et d’immatriculation et de la phase de paiement des cotisations qui sont de 1000 FCFA par mois par les populations ayant des revenus.
La CMU étant fondée sur les principes de solidarité nationale, d’équité et de mutualisation des risques, elle concerne toutes les populations résidant en Côte d’Ivoire. Selon le DG de la CNAM, en vue d’un déploiement progressif, les travailleurs des secteurs publics et privés, les retraités des deux secteurs, les producteurs d’hévéa et de palmiers à huile sont prioritairement concernés pour cette phase de démarrage.
Par ailleurs, bien que le processus soit continu, le DG estime qu’il n’est pas utile que les populations attendent des délais lointains pour se faire affilier. «L’opération est gratuite et est garantie par la remise d’un récépissé ; toutes les dispositions ont également été prises en vue de faciliter l’accès des populations aux centres d’enrôlement et d’autres mesures seront prises en vue de rapprocher au maximum les équipes d’enrôlement des populations, » a rassuré Bamba Karim. Il convient enfin de rappeler que le panier de soin qui sera administré dans les centres de santé avec l’entrée en vigueur de la CMU est composé entre autres de la consultation, des examens médicaux et radios, des médicaments génériques, de l’hospitalisation etc.
Bamba Karim a annoncé en présence du président du conseil d’administration et de la Directrice adjointe de SNEDAI, opérateur technique, que le processus d’enrôlement n’a pas encore atteint sa vitesse de croisière. A ce jour c’est environ 2000 personnes qui se sont enrôlées alors que le processus a démarré depuis le 30 décembre dernier avec le chef de l’Etat ivoirien.
Cependant, il est confiant de la multiplication de ce nombre dans les prochains jours avec la quarantaine de sites d’enrôlement ouverts aux populations sur un total de 59 prévus.
«Les personnes sont invitées à se rendre dans ces sites munies des pièces tels que, la carte nationale d’identité ou tout autre document officiel tenant lieu, l’extrait d’acte de naissance ou jugement supplétif, l’acte de mariage, l’acte d’autorité parentale pour les personnes âgées de moins de 18 ans et non accompagnées ou copie du reçu d’enrôlement de l’assuré payeur, la photocopie de la pièce d’identité de l’assuré, l’attestation de travail ou de présence au poste, le bulletin, décision, arrêté ou attestation de pension, » a rappelé Bamba Karim.
Plusieurs étapes sont à franchir en vue de permettre aux populations de bénéficier effectivement de la prise en charge de leurs soins de santé. Il s’agit selon le Directeur général de la phase d’affiliation et d’immatriculation et de la phase de paiement des cotisations qui sont de 1000 FCFA par mois par les populations ayant des revenus.
La CMU étant fondée sur les principes de solidarité nationale, d’équité et de mutualisation des risques, elle concerne toutes les populations résidant en Côte d’Ivoire. Selon le DG de la CNAM, en vue d’un déploiement progressif, les travailleurs des secteurs publics et privés, les retraités des deux secteurs, les producteurs d’hévéa et de palmiers à huile sont prioritairement concernés pour cette phase de démarrage.
Par ailleurs, bien que le processus soit continu, le DG estime qu’il n’est pas utile que les populations attendent des délais lointains pour se faire affilier. «L’opération est gratuite et est garantie par la remise d’un récépissé ; toutes les dispositions ont également été prises en vue de faciliter l’accès des populations aux centres d’enrôlement et d’autres mesures seront prises en vue de rapprocher au maximum les équipes d’enrôlement des populations, » a rassuré Bamba Karim. Il convient enfin de rappeler que le panier de soin qui sera administré dans les centres de santé avec l’entrée en vigueur de la CMU est composé entre autres de la consultation, des examens médicaux et radios, des médicaments génériques, de l’hospitalisation etc.