Depuis le retour au multipartisme dans notre pays, chaque élection présidentielle voit la participation d’une pléthore de candidats. En 2010, après l’élimination de 6 prétendants, le Conseil constitutionnel a retenu 14 candidats qui ont concouru au suffrage universel direct au premier tour. L’on se souvient encore des mille et une difficultés endurées par les électeurs pour opérer un choix sur le bulletin unique dont ils n’avaient pas une longue expérience.
En 2015 encore, il y aura une élection présidentielle et les prétendants se signalent au fil des jours. C’est à croire que la balise que constitue la caution de 20 millions de FCFA ne produit pas l’effet escompté par le législateur. Au moment de l’adoption du code électoral dans les années 2000 ce débat sur la caution avait eu lieu et finalement les tenants de la thèse de la caution ont triomphé. Pour eux, cette caution, loin de transformer l’élection du président de la République en une sorte d’oligarchie, la caution de 20 millions devrait constituer une obstruction aux trouble-fêtes, voire aux aventuriers de tous bords. A la pratique, l’objectif de la limitation des candidatures qui sous-tendait l’instauration de cette disposition n’est… (Lire la suite dans Le Sursaut)
En 2015 encore, il y aura une élection présidentielle et les prétendants se signalent au fil des jours. C’est à croire que la balise que constitue la caution de 20 millions de FCFA ne produit pas l’effet escompté par le législateur. Au moment de l’adoption du code électoral dans les années 2000 ce débat sur la caution avait eu lieu et finalement les tenants de la thèse de la caution ont triomphé. Pour eux, cette caution, loin de transformer l’élection du président de la République en une sorte d’oligarchie, la caution de 20 millions devrait constituer une obstruction aux trouble-fêtes, voire aux aventuriers de tous bords. A la pratique, l’objectif de la limitation des candidatures qui sous-tendait l’instauration de cette disposition n’est… (Lire la suite dans Le Sursaut)