Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le gouvernement ivoirien a expliqué, mercredi, les enjeux de la 3è édition du Salon international de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan (SARA 2015) au secteur privé national et international, en vue d’obtenir sa participation à ce rendez-vous qui offrira une plateforme de rencontre et d’échange sur les opportunités d’investissement dans le secteur agricole ivoirien.
Le ministre de l’agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly a expliqué le contexte et les motivations de l’organisation de ce Salon, au secteur privé ivoirien représenté par les membres de la Chambre du commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (CCICI), la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) et des fédérations du secteur agricole.
Exhortant les membres de ces différentes faitières à participer au SARA 2015, le ministre Coulibaly, a indiqué que ce rendez-vous, sera l’occasion de « montrer les potentialités agricoles » du pays. « L’objectif du gouvernement est que le privé s’approprie ce Salon », a insisté le ministre de l’agriculture.
Il ressort des échanges que le secteur privé ivoirien s’engage à prendre une part effective dans le succès de ce Salon. Cependant, elle a plaidé pour une baisse tarifaire des stands.
Cette 3è édition du SARA après celles de 1997 et 1999 se tient dans un « contexte de stabilité et de situation post-crise » autour du thème : « promotion de l’investissement agricole durable» avec pour slogan «le SARA 2015, le Rendez-vous de l’Agri-business ».
Prévu du 3 au 12 avril prochain, ce Salon s’articule autour d’activités d’ordre promotionnel, scientifique, commercial et médiatique, utilisant à la fois les formats «grand public » et «professionnel ».
Selon le ministre de l’agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly, il réunira tous les acteurs de toute taille, locaux ou internationaux du secteur agricole et permettra de présenter les opportunités d’investissement dans le secteur agricole et de capter des investissements pour le secteur agricole.
Echanger et partager les expériences sur les grands défis de développement du secteur de l’agriculture ainsi que promouvoir les savoir-faire (techniques et technologiques) et la richesse des produits locaux et internationaux, et stimuler les partenariats sous-régionaux et internationaux sont également les objectifs poursuivis par ce Salon qui sera organisé à l’espace situé entre l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny et la place Akwaba de Port-Bouët (Sud d’Abidjan).
600 à 800 exposants ainsi que 500 000 visiteurs constitués des acteurs des pays africains, européens, asiatiques et américains sont attendus au SARA 2015 afin d’assurer sa vocation internationale. Des conférences, des ateliers, des concours et neuf pôles sont au notamment menu de cet événement co-organisé institutionnellement par le ministère de l’agriculture, celui des ressources animales et halieutiques et le ministère des eaux et forêts.
SARA 2015 dont l’organisation pratique est confiée à un Commissariat général, assisté par Voodoo Communication dans le cadre du partenariat secteur public-privé proposera un espace d’exposition sur un site aménagé de près de dix hectares modulables et concernera tous les aspects de l’agriculture, des ressources animales et halieutiques, des eaux et forêts, de l’agro-industrie et de l’écotourisme.
LS/APA
Le ministre de l’agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly a expliqué le contexte et les motivations de l’organisation de ce Salon, au secteur privé ivoirien représenté par les membres de la Chambre du commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (CCICI), la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) et des fédérations du secteur agricole.
Exhortant les membres de ces différentes faitières à participer au SARA 2015, le ministre Coulibaly, a indiqué que ce rendez-vous, sera l’occasion de « montrer les potentialités agricoles » du pays. « L’objectif du gouvernement est que le privé s’approprie ce Salon », a insisté le ministre de l’agriculture.
Il ressort des échanges que le secteur privé ivoirien s’engage à prendre une part effective dans le succès de ce Salon. Cependant, elle a plaidé pour une baisse tarifaire des stands.
Cette 3è édition du SARA après celles de 1997 et 1999 se tient dans un « contexte de stabilité et de situation post-crise » autour du thème : « promotion de l’investissement agricole durable» avec pour slogan «le SARA 2015, le Rendez-vous de l’Agri-business ».
Prévu du 3 au 12 avril prochain, ce Salon s’articule autour d’activités d’ordre promotionnel, scientifique, commercial et médiatique, utilisant à la fois les formats «grand public » et «professionnel ».
Selon le ministre de l’agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly, il réunira tous les acteurs de toute taille, locaux ou internationaux du secteur agricole et permettra de présenter les opportunités d’investissement dans le secteur agricole et de capter des investissements pour le secteur agricole.
Echanger et partager les expériences sur les grands défis de développement du secteur de l’agriculture ainsi que promouvoir les savoir-faire (techniques et technologiques) et la richesse des produits locaux et internationaux, et stimuler les partenariats sous-régionaux et internationaux sont également les objectifs poursuivis par ce Salon qui sera organisé à l’espace situé entre l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny et la place Akwaba de Port-Bouët (Sud d’Abidjan).
600 à 800 exposants ainsi que 500 000 visiteurs constitués des acteurs des pays africains, européens, asiatiques et américains sont attendus au SARA 2015 afin d’assurer sa vocation internationale. Des conférences, des ateliers, des concours et neuf pôles sont au notamment menu de cet événement co-organisé institutionnellement par le ministère de l’agriculture, celui des ressources animales et halieutiques et le ministère des eaux et forêts.
SARA 2015 dont l’organisation pratique est confiée à un Commissariat général, assisté par Voodoo Communication dans le cadre du partenariat secteur public-privé proposera un espace d’exposition sur un site aménagé de près de dix hectares modulables et concernera tous les aspects de l’agriculture, des ressources animales et halieutiques, des eaux et forêts, de l’agro-industrie et de l’écotourisme.
LS/APA