Casablanca, Le gouvernement ivoirien encourage le secteur privé marocain à investir en Côte d’Ivoire en suivant "les traces des groupes Attijariwafa, la banque populaire du Maroc et la Banque marocaine pour le commerce extérieur", a exprimé, jeudi, à Casablanca (Maroc) le secrétaire général de la Présidence ivoirienne, Amadou Gon Coulibaly, à l’ouverture du Forum international Afrique Développement (FAD).
Ces banques, a souligné M. Gon Coulibaly, "contribuent au rayonnement de l’économie ivoirienne", invitant les acteurs du secteur privé marocain, "nous vous attendons et nous nous réjouissons à l’idée de mettre en place des partenariats gagnant-gagnant avec vous".
Il a salué l’excellence des rapports qui unissent la Côte d’Ivoire et le Maroc et "la particularité des liens" qu’entretiennent le président Alassane Ouattara et le Roi du Maroc, Mohamed VI, assurant que "forte de sa croissance, la Côte d’Ivoire saura et pourra rémunérer sur le long terme, les investisseurs innovants, compétitifs et ambitieux".
Le ministre Gon Coulibaly a également rassuré les potentiels investisseurs quant à la mise en œuvre du plan national de développement (PND 2016-2020), en cours d’élaboration, qui devra consolider les acquis de celui de 2012-2015, et permettre de "réaliser une croissance forte, inclusive et soutenable, tirée par l’investissement privé dans un environnement macroéconomique stable", afin d’atteindre l’émergence en 2020.
Il a levé à cet effet un coin de voile sur le PND en élaboration, affirmant qu’il s’articulera autour de la "réalisation d’infrastructures économiques structurantes pour accompagner le secteur privé, de l’amélioration continue du cadre des affaires et la compétitivité des entreprises, afin de lancer une dynamique d’emplois notamment des jeunes".
Il s’agit en outre, selon l’émissaire ivoirien à la 3ème édition du FAD d’accélérer la croissance du secteur productif et de renforcer les infrastructures sociales dans les secteurs de la santé et de l’éducation".
"Toutes ces actions devraient conduire à un doublement du produit intérieur brut (PIB) par habitant entre 2011 et 2020, à réduire la pauvreté de moitié à l’horizon 2020", selon le ministre d’Etat, présentant quelques secteurs structurants du programme de développement de la Côte d’Ivoire dont les objectifs permettront de réaliser l’émergence en 2020.
Il s’agit, entre autres du développement agricole, de la transformation des produits agricoles et non agricoles, l’industrialisation, le développement de la production de ressources animales et halieutiques, la construction d’infrastructures scolaires, universitaires, sanitaires, routières et ferroviaires, la création et l’aménagement de zones industrielles et portuaires, la construction de nouveaux barrages hydroélectriques, et centrales thermiques au combustible les moins chers, autant de programmes qui nécessitent l’apport d’investisseurs tant nationaux et qu’étrangers.
Des investisseurs marocains sont présents en Côte d'Ivoire, notamment dans la cimenterie et les projets immobiliers, note-t-on.
(AIP)
ask
Ces banques, a souligné M. Gon Coulibaly, "contribuent au rayonnement de l’économie ivoirienne", invitant les acteurs du secteur privé marocain, "nous vous attendons et nous nous réjouissons à l’idée de mettre en place des partenariats gagnant-gagnant avec vous".
Il a salué l’excellence des rapports qui unissent la Côte d’Ivoire et le Maroc et "la particularité des liens" qu’entretiennent le président Alassane Ouattara et le Roi du Maroc, Mohamed VI, assurant que "forte de sa croissance, la Côte d’Ivoire saura et pourra rémunérer sur le long terme, les investisseurs innovants, compétitifs et ambitieux".
Le ministre Gon Coulibaly a également rassuré les potentiels investisseurs quant à la mise en œuvre du plan national de développement (PND 2016-2020), en cours d’élaboration, qui devra consolider les acquis de celui de 2012-2015, et permettre de "réaliser une croissance forte, inclusive et soutenable, tirée par l’investissement privé dans un environnement macroéconomique stable", afin d’atteindre l’émergence en 2020.
Il a levé à cet effet un coin de voile sur le PND en élaboration, affirmant qu’il s’articulera autour de la "réalisation d’infrastructures économiques structurantes pour accompagner le secteur privé, de l’amélioration continue du cadre des affaires et la compétitivité des entreprises, afin de lancer une dynamique d’emplois notamment des jeunes".
Il s’agit en outre, selon l’émissaire ivoirien à la 3ème édition du FAD d’accélérer la croissance du secteur productif et de renforcer les infrastructures sociales dans les secteurs de la santé et de l’éducation".
"Toutes ces actions devraient conduire à un doublement du produit intérieur brut (PIB) par habitant entre 2011 et 2020, à réduire la pauvreté de moitié à l’horizon 2020", selon le ministre d’Etat, présentant quelques secteurs structurants du programme de développement de la Côte d’Ivoire dont les objectifs permettront de réaliser l’émergence en 2020.
Il s’agit, entre autres du développement agricole, de la transformation des produits agricoles et non agricoles, l’industrialisation, le développement de la production de ressources animales et halieutiques, la construction d’infrastructures scolaires, universitaires, sanitaires, routières et ferroviaires, la création et l’aménagement de zones industrielles et portuaires, la construction de nouveaux barrages hydroélectriques, et centrales thermiques au combustible les moins chers, autant de programmes qui nécessitent l’apport d’investisseurs tant nationaux et qu’étrangers.
Des investisseurs marocains sont présents en Côte d'Ivoire, notamment dans la cimenterie et les projets immobiliers, note-t-on.
(AIP)
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