Abidjan – Le président ivoirien, Alassane Ouattara, a lancé jeudi, à Abidjan, l’opération "un citoyen, un ordinateur plus une connexion internet" pour réduire la fracture numérique et booster l’usage de l’informatique au profit de 500 000 foyers en trois ans.
Dix mille foyers bénéficieront de ce programme cette année, 200 000 en 2016 et 200 000 autres en 2017, à travers un projet de réduction de coûts des appareils et de l’abonnement mis en oeuvre par l'Agence national du service universel des télécommunications-TIC (ANSUT).
Les ordinateurs portables coûteront entre 160 000 et 249 000 FCFA tandis que les tablettes vaudront entre 50 000 et 196.000 FCFA, a indiqué le ministre de la poste et des technologies de l’information et de la communication, Bruno Koné, lors de la cérémonie qui se déroulait à Sofitel hôtel ivoire d’Abidjan.
La connexion à internet sera établie entre 2000 et 7000 FCFA par mois, équivalant en tout, à une économie de 20 à 48% au profit des populations désireuses d’acquérir un appareil et une connexion internet.
Inscrit dans le programme de gouvernement d'Alassane Ouattara, le projet "un citoyen, un ordinateur et une connexion internet", vise à vulgariser "de façon massive et rapide" les équipements TIC, et permettre l’usage des Technologies de l’information et de la communication par le plus grand nombre des ivoiriens.
"J’invite tous nos concitoyens, toutes les populations à saisir l’opportunité offerte par ce projet pour rentrer résolument dans l’ère du numérique et de la société du savoir", a souhaité le président Alassane Ouattara.
La Côte d’Ivoire a mis en œuvre un cadre réglementaire qui compte parmi les plus évolués d’Afrique, construit un réseau national en fibre optique qui sera mis en service d’ici juillet, engagé l’interconnexion des universités Félix Houphouët-Boigny, Nanguy Abrogoua et Alassane Ouattara de Bouaké, pour offrir des possibilités de télé-enseignement aux professeurs et aux étudiants de notre pays.
L'enseignement des TIC a été introduit dans le système éducatif de base et l’ouverture d’une Ecole supérieure africaine des TIC est envisagée.
Avec 200.000 emplois, le secteur des TIC a engendré un chiffre d’affaires consolidé de 1.000 milliards de FCFA en 2014, à hauteur de 5 à 8% du PIB national.
(AIP)
Aaa/akn/tm
Dix mille foyers bénéficieront de ce programme cette année, 200 000 en 2016 et 200 000 autres en 2017, à travers un projet de réduction de coûts des appareils et de l’abonnement mis en oeuvre par l'Agence national du service universel des télécommunications-TIC (ANSUT).
Les ordinateurs portables coûteront entre 160 000 et 249 000 FCFA tandis que les tablettes vaudront entre 50 000 et 196.000 FCFA, a indiqué le ministre de la poste et des technologies de l’information et de la communication, Bruno Koné, lors de la cérémonie qui se déroulait à Sofitel hôtel ivoire d’Abidjan.
La connexion à internet sera établie entre 2000 et 7000 FCFA par mois, équivalant en tout, à une économie de 20 à 48% au profit des populations désireuses d’acquérir un appareil et une connexion internet.
Inscrit dans le programme de gouvernement d'Alassane Ouattara, le projet "un citoyen, un ordinateur et une connexion internet", vise à vulgariser "de façon massive et rapide" les équipements TIC, et permettre l’usage des Technologies de l’information et de la communication par le plus grand nombre des ivoiriens.
"J’invite tous nos concitoyens, toutes les populations à saisir l’opportunité offerte par ce projet pour rentrer résolument dans l’ère du numérique et de la société du savoir", a souhaité le président Alassane Ouattara.
La Côte d’Ivoire a mis en œuvre un cadre réglementaire qui compte parmi les plus évolués d’Afrique, construit un réseau national en fibre optique qui sera mis en service d’ici juillet, engagé l’interconnexion des universités Félix Houphouët-Boigny, Nanguy Abrogoua et Alassane Ouattara de Bouaké, pour offrir des possibilités de télé-enseignement aux professeurs et aux étudiants de notre pays.
L'enseignement des TIC a été introduit dans le système éducatif de base et l’ouverture d’une Ecole supérieure africaine des TIC est envisagée.
Avec 200.000 emplois, le secteur des TIC a engendré un chiffre d’affaires consolidé de 1.000 milliards de FCFA en 2014, à hauteur de 5 à 8% du PIB national.
(AIP)
Aaa/akn/tm