La rotonde de l’immeuble Caistab à Abidjan-Plateau a abrité le mercredi 18 février 2015 la deuxième cérémonie de remise de chèques aux artistes de Côte d’Ivoire conformément à la volonté du Président de la République.
Maurice Bandaman, ministre de la Culture et de la Francophonie a remis des chèques à 32 artistes pour services rendus à la Nation. A cette occasion, le ministre a déclaré : « Nous sommes, ici, rassemblés pour célébrer trente-deux (32) d’entre nous, comédiens, musiciens, écrivains, peintres, cinéastes, qui ont tant donné aux hommes et à la Nation. Ils viennent s’ajouter aux quinze premiers de l’année dernière pour agrandir le cercle symbolique de la reconnaissance que la Nation doit à ses plus illustres serviteurs. » Sur sa lancée, le ministre a ajouté : « il est juste que la patrie soit reconnaissante à ses plus illustres serviteurs. Et à ses citoyens qui, par l’art et la culture, lui ont tressé le rêve commun d’appartenir à une même nation, par le partage de l’émotion et la joie qui apaise ». Il a précisé : « en nous autorisant à poursuivre cet acte de la mémoire et de la reconnaissance, le Chef de l’Etat, le Président Alassane Ouattara confirme la générosité de l’Etat, l’humanisme de sa gouvernance et sa sensibilité toute particulière pour l’Art et la Culture. » Puis, il a souligné : « cette cérémonie s’inscrit dans la dynamique de la thématique de la mémoire et de la reconnaissance qui impose un devoir: celui pour chaque génération de se souvenir de l’œuvre de ses devanciers et de leur témoigner de la reconnaissance. » Maurice Bandaman a dit : « avec le Chef de l’Etat, nous voulons rompre avec l’image de l’artiste troubadour, saltimbanque ou amuseur de la République, éternel assisté, abonné à la générosité publique. L’artiste de la Côte d’Ivoire devra être une femme et un homme autonome, digne et riche de son œuvre et de ses ressources. Mais, un Etat qui laisse ses artistes mourir dans le silence de l’indignité est un état condamné. Condamné au mépris des siens, condamné à la malédiction des ancêtres. » C’est Leonard Groguhet qui, au nom des récipiendaires, a traduit toute leur reconnaissance au Président de la république et a exprimé leur volonté commune de rencontrer Alassane Ouattara pour lui dire de vive voix merci.
M.Ouattara
Maurice Bandaman, ministre de la Culture et de la Francophonie a remis des chèques à 32 artistes pour services rendus à la Nation. A cette occasion, le ministre a déclaré : « Nous sommes, ici, rassemblés pour célébrer trente-deux (32) d’entre nous, comédiens, musiciens, écrivains, peintres, cinéastes, qui ont tant donné aux hommes et à la Nation. Ils viennent s’ajouter aux quinze premiers de l’année dernière pour agrandir le cercle symbolique de la reconnaissance que la Nation doit à ses plus illustres serviteurs. » Sur sa lancée, le ministre a ajouté : « il est juste que la patrie soit reconnaissante à ses plus illustres serviteurs. Et à ses citoyens qui, par l’art et la culture, lui ont tressé le rêve commun d’appartenir à une même nation, par le partage de l’émotion et la joie qui apaise ». Il a précisé : « en nous autorisant à poursuivre cet acte de la mémoire et de la reconnaissance, le Chef de l’Etat, le Président Alassane Ouattara confirme la générosité de l’Etat, l’humanisme de sa gouvernance et sa sensibilité toute particulière pour l’Art et la Culture. » Puis, il a souligné : « cette cérémonie s’inscrit dans la dynamique de la thématique de la mémoire et de la reconnaissance qui impose un devoir: celui pour chaque génération de se souvenir de l’œuvre de ses devanciers et de leur témoigner de la reconnaissance. » Maurice Bandaman a dit : « avec le Chef de l’Etat, nous voulons rompre avec l’image de l’artiste troubadour, saltimbanque ou amuseur de la République, éternel assisté, abonné à la générosité publique. L’artiste de la Côte d’Ivoire devra être une femme et un homme autonome, digne et riche de son œuvre et de ses ressources. Mais, un Etat qui laisse ses artistes mourir dans le silence de l’indignité est un état condamné. Condamné au mépris des siens, condamné à la malédiction des ancêtres. » C’est Leonard Groguhet qui, au nom des récipiendaires, a traduit toute leur reconnaissance au Président de la république et a exprimé leur volonté commune de rencontrer Alassane Ouattara pour lui dire de vive voix merci.
M.Ouattara
