Il s’est tenu, du 19 au 21 février 2015, à l’initiative de la municipalité de Kouto, avec l’appui technique du Bureau National d’Etudes Techniques et de Développement (BNETD), l’Atelier de Restitution, de Planification et de Programmation du Plan Stratégique de Développement de la Commune de Kouto. Cet atelier qui s’est déroulé à la l’Hôtel Communal de la ville, sous le parrainage et la présidence effective du Ministre de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication, Porte-parole du Gouvernement, Bruno Nabagné KONE, a vu la participation des autorités administratives et coutumières, des élus locaux, des cadres et des organisations de la société civile. Il visait essentiellement à élaborer le Plan Stratégique de Développement de la Commune de Kouto. Durant trois jours, les participants ont réfléchi et échangé sur des thématiques, telles que le cadre de vie et l’habitat, l’agriculture, l’environnement et les ressources naturelles, l’élevage et la pêche, l’éducation et la formation professionnelle, la démographie , la santé et l’action sociale, l’infrastructure, l’équipement, le transport et le commerce, le tourisme, la culture, l’artisanat, les sports et loisirs, la sécurité et la protection civile, la gouvernance, etc.
Au cours des travaux, quelques potentialités et atouts de la ville ont été relevés. Il s’agit entre autre de l’existence d’un Plan d’Urbanisme Directeur(PUD) en cours de révision, de conditions naturelles favorables à la pratique de l’agriculture et propices à l’élevage, et du riche patrimoine naturel, culturel et artisanal des peuples de la région.
Quelques contraintes au développement de la ville ont cependant été indiquées, à savoir le déficit en logements locatifs et en terrains à bâtir, la divagation des animaux dans la ville et dans les villages, l’inaccessibilité des paysans aux crédits bancaires, la non connexion du Centre de Santé Urbain (CSU) de Kouto au réseau d’adduction d’eau potable, l’insuffisante promotion du patrimoine culturel et touristique, et la faible capacité locale de mobilisation des ressources.
En vue d’une meilleure planification du développement de la ville de Kouto, l’atelier a identifié 15 orientations stratégiques, 47 objectifs stratégiques et 286 actions clés. Comme actions prioritaires, il est prévu entre autre l’organisation d’une table-ronde des bailleurs de fonds pour le financement de projets de développement, la création d’une décharge publique, l’immatriculation du patrimoine foncier, le bitumage et la réhabilitation de la route, la construction d’une gare routière moderne, le renforcement du réseau électrique, la mise en place d’un fonds de garantie pour le financement des activités économiques, l’aménagement de bas-fonds pour les cultures vivrières, la construction d’un hôpital général et d’une usine de transformation de l’anacarde.
Présent à la cérémonie de clôture, le Ministre Bruno Nabagné KONE a exhorté les populations du département de Kouto et de la Bagoué à tirer profit des énormes potentialités naturelles de la région, notamment par le développement de la culture de l’anacarde, de l’élevage, de la pisciculture, etc… Il a demandé aux femmes en particulier, de s’adonner à la culture du vivrier. Pour lui, toutes les régions de la Côte d'Ivoire doivent être autosuffisantes en matière de vivrier, ce qui permettra de réduire le coût de la vie.
Enfin, il a annoncé la construction, dans un futur proche, d’infrastructures dans la ville de Kouto, à savoir une usine de traitement de l’anacarde, une école construite par les cadres, le bitumage de six (6) kilomètres de route, le renforcement de la fourniture en eau potable, l’électrification des villages de plus de cinq cents (500) habitants…
Au cours des travaux, quelques potentialités et atouts de la ville ont été relevés. Il s’agit entre autre de l’existence d’un Plan d’Urbanisme Directeur(PUD) en cours de révision, de conditions naturelles favorables à la pratique de l’agriculture et propices à l’élevage, et du riche patrimoine naturel, culturel et artisanal des peuples de la région.
Quelques contraintes au développement de la ville ont cependant été indiquées, à savoir le déficit en logements locatifs et en terrains à bâtir, la divagation des animaux dans la ville et dans les villages, l’inaccessibilité des paysans aux crédits bancaires, la non connexion du Centre de Santé Urbain (CSU) de Kouto au réseau d’adduction d’eau potable, l’insuffisante promotion du patrimoine culturel et touristique, et la faible capacité locale de mobilisation des ressources.
En vue d’une meilleure planification du développement de la ville de Kouto, l’atelier a identifié 15 orientations stratégiques, 47 objectifs stratégiques et 286 actions clés. Comme actions prioritaires, il est prévu entre autre l’organisation d’une table-ronde des bailleurs de fonds pour le financement de projets de développement, la création d’une décharge publique, l’immatriculation du patrimoine foncier, le bitumage et la réhabilitation de la route, la construction d’une gare routière moderne, le renforcement du réseau électrique, la mise en place d’un fonds de garantie pour le financement des activités économiques, l’aménagement de bas-fonds pour les cultures vivrières, la construction d’un hôpital général et d’une usine de transformation de l’anacarde.
Présent à la cérémonie de clôture, le Ministre Bruno Nabagné KONE a exhorté les populations du département de Kouto et de la Bagoué à tirer profit des énormes potentialités naturelles de la région, notamment par le développement de la culture de l’anacarde, de l’élevage, de la pisciculture, etc… Il a demandé aux femmes en particulier, de s’adonner à la culture du vivrier. Pour lui, toutes les régions de la Côte d'Ivoire doivent être autosuffisantes en matière de vivrier, ce qui permettra de réduire le coût de la vie.
Enfin, il a annoncé la construction, dans un futur proche, d’infrastructures dans la ville de Kouto, à savoir une usine de traitement de l’anacarde, une école construite par les cadres, le bitumage de six (6) kilomètres de route, le renforcement de la fourniture en eau potable, l’électrification des villages de plus de cinq cents (500) habitants…