ABIDJAN -- Des autorités sécuritaires ivoiriennes ont exprimé lundi à Divo (sud-ouest) leur engagement à freiner la circulation illicite des armes légères dans le pays.
"La persistance des braquages, des attaques et d’autres exactions est la preuve que les armes continuent toujours de circuler dans le milieu des ex-combattants. Mais des actions vigoureuses sont menées pour freiner le fléau", a noté un officier des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI).
"L’Etat s’engage à endiguer le phénomène. La population doit rester sereine", a noté pour sa par part le délégué régional de l’Autorité pour le Désarmement, la Démobilisation et la réintégration (ADDR) Zoumana Coulibaly, exhortant les populations à prendre part au prochain scrutin présidentiel "sans crainte".
Pour celui-ci, le désarmement communautaire est d’une importance capitale pour débarrasser les régions du pays des armes illicites.
"La guerre est terminée. Les ex-combattants doivent déposer toutes les armes qui ont servi à combattre", a noté M. Coulibaly, invitant les communautés à convaincre leurs enfants sur la nécessité de déposer les armes.
"Les communautés bénéficieront de routes de programmes de développement tels que des emplois, des écoles et des centres de santé si elles déposent les armes", a-t-il insisté, relevant que "plus la quantité d’armes déposées est grande, plus la contribution sera forte".
Plusieurs jeunes avaient pris les armes au plus fort de la crise post-électorale pour combattre aux côtés des forces pro- Gbagbo et des forces pro-Ouattara.
La crise a engendré une prolifération et une circulation illicite d’armes, avec comme conséquence l’insécurité.
A plusieurs occasions, le président Alassane Ouattara a indiqué que la belligérance est terminée. Il a invité les jeunes à déposer les armes, assurant qu’ils seraient pris en compte dans des programmes de réinsertions socio-économiques.
"La persistance des braquages, des attaques et d’autres exactions est la preuve que les armes continuent toujours de circuler dans le milieu des ex-combattants. Mais des actions vigoureuses sont menées pour freiner le fléau", a noté un officier des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI).
"L’Etat s’engage à endiguer le phénomène. La population doit rester sereine", a noté pour sa par part le délégué régional de l’Autorité pour le Désarmement, la Démobilisation et la réintégration (ADDR) Zoumana Coulibaly, exhortant les populations à prendre part au prochain scrutin présidentiel "sans crainte".
Pour celui-ci, le désarmement communautaire est d’une importance capitale pour débarrasser les régions du pays des armes illicites.
"La guerre est terminée. Les ex-combattants doivent déposer toutes les armes qui ont servi à combattre", a noté M. Coulibaly, invitant les communautés à convaincre leurs enfants sur la nécessité de déposer les armes.
"Les communautés bénéficieront de routes de programmes de développement tels que des emplois, des écoles et des centres de santé si elles déposent les armes", a-t-il insisté, relevant que "plus la quantité d’armes déposées est grande, plus la contribution sera forte".
Plusieurs jeunes avaient pris les armes au plus fort de la crise post-électorale pour combattre aux côtés des forces pro- Gbagbo et des forces pro-Ouattara.
La crise a engendré une prolifération et une circulation illicite d’armes, avec comme conséquence l’insécurité.
A plusieurs occasions, le président Alassane Ouattara a indiqué que la belligérance est terminée. Il a invité les jeunes à déposer les armes, assurant qu’ils seraient pris en compte dans des programmes de réinsertions socio-économiques.