Abidjan (Côte d’Ivoire) - Un poste de l’armée ivoirienne a été attaqué dans la nuit de samedi à dimanche dans la localité de Nougoua à environ 5 km de Noé, à la frontière avec le Ghana (Est), sans faire de victime.
Selon des sources sécuritaires interrogées, dimanche, par APA, les éléments des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) en poste dans cette localité, "ont riposté à ces attaques menées par des inconnus, venus certainement du Ghana" voisin.
Dans leur fuite vers le fleuve qui sépare le Ghana et la Côte d’Ivoire, expliquent les mêmes sources, "les assaillants ont abandonné des armes qui ont été saisies" par les soldats ivoiriens. "Aucune victime n’est à déplorer", ajoutent ces sources sécuritaires.
Le ministre ivoirien auprès du Président de la République chargé de la défense, Paul Koffi Koffi en tournée à ce post frontalier de Noé dans le Sud-Comoé du pays, à la frontière avec le Ghana, avait encouragé, jeudi, les forces de l’ordre dans la sécurisation des fêtes de fin d’année, les invitant dans la foulée à la vigilance.
Début décembre dernier, une position de l’armée ivoirienne a été lourdement attaquée par surprise dans le village d’Olodjo (Sud-Ouest), non loin de la frontière libérienne. Ces attaques avaient fait au moins dix morts dont six soldats des FRCI et quatre chez les assaillants.
Après la grave crise postélectorale ayant pris fin en avril 2011 et qui a marqué l’épilogue de la décennie de crise qu’a connue la Côte d’Ivoire, le Chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara a créé les Forces spéciales, une unité d’élite rompue au combat en milieu hostile et dont les éléments été formés au Maroc, en Egypte, aux Etats-Unis et en Chine.
Les autorités ivoiriennes entendent prémunir la Côte d’Ivoire, notamment sa partie ouest contre les attaques et autres actions de déstabilisation, venues jusque-là du Libéria. L’Ouest ivoirien qui fait l’objet de plusieurs attaques depuis ces dernières années est régulièrement instable.
MC-LS/APA
Selon des sources sécuritaires interrogées, dimanche, par APA, les éléments des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) en poste dans cette localité, "ont riposté à ces attaques menées par des inconnus, venus certainement du Ghana" voisin.
Dans leur fuite vers le fleuve qui sépare le Ghana et la Côte d’Ivoire, expliquent les mêmes sources, "les assaillants ont abandonné des armes qui ont été saisies" par les soldats ivoiriens. "Aucune victime n’est à déplorer", ajoutent ces sources sécuritaires.
Le ministre ivoirien auprès du Président de la République chargé de la défense, Paul Koffi Koffi en tournée à ce post frontalier de Noé dans le Sud-Comoé du pays, à la frontière avec le Ghana, avait encouragé, jeudi, les forces de l’ordre dans la sécurisation des fêtes de fin d’année, les invitant dans la foulée à la vigilance.
Début décembre dernier, une position de l’armée ivoirienne a été lourdement attaquée par surprise dans le village d’Olodjo (Sud-Ouest), non loin de la frontière libérienne. Ces attaques avaient fait au moins dix morts dont six soldats des FRCI et quatre chez les assaillants.
Après la grave crise postélectorale ayant pris fin en avril 2011 et qui a marqué l’épilogue de la décennie de crise qu’a connue la Côte d’Ivoire, le Chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara a créé les Forces spéciales, une unité d’élite rompue au combat en milieu hostile et dont les éléments été formés au Maroc, en Egypte, aux Etats-Unis et en Chine.
Les autorités ivoiriennes entendent prémunir la Côte d’Ivoire, notamment sa partie ouest contre les attaques et autres actions de déstabilisation, venues jusque-là du Libéria. L’Ouest ivoirien qui fait l’objet de plusieurs attaques depuis ces dernières années est régulièrement instable.
MC-LS/APA