Des inconnus armés ont attaqué samedi nuit un poste de l’armée ivoirienne à Nougoua (est), à la frontière entre la Côte d’Ivoire et le Ghana, a dit dimanche à ALERTE INFO une source sécuritaire, indiquant que les échanges de tirs n’ont fait aucun mort.
Ce poste de sécurité, où sont cantonnées des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI, armée), à la frontière avec le Ghana, a été pris d’assaut par des hommes armés non identifiés, dans la nuit de samedi, a rapporté cette source sécuritaire.
Les éléments des FRCI ont "riposté" et "les assaillants ont abandonné des armes", a affirmé l’officier de l’armée ivoirienne, précisant que l’attaque est survenue à Nougoua, à 5 Km de Noé, localité où se trouve le poste des douanes entre la Côte d’Ivoire et le Ghana.
Dans cette partie frontalière, seulement un fleuve sépare le Ghana et la Côte d’Ivoire, a-t-il fait observer, assurant que les forces ivoiriennes disposent de moyens nécessaires pour sécuriser la zone de Nougoua, une sous-préfecture de Noé.
Depuis la fin de la crise postélectorale ivoirienne, qui a fait officiellement plus de 3.000 morts entre décembre 2010 et avril 2011, des postes-frontières sont la cible d’inconnus armés dans cette localité du pays.
PAL
Ce poste de sécurité, où sont cantonnées des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI, armée), à la frontière avec le Ghana, a été pris d’assaut par des hommes armés non identifiés, dans la nuit de samedi, a rapporté cette source sécuritaire.
Les éléments des FRCI ont "riposté" et "les assaillants ont abandonné des armes", a affirmé l’officier de l’armée ivoirienne, précisant que l’attaque est survenue à Nougoua, à 5 Km de Noé, localité où se trouve le poste des douanes entre la Côte d’Ivoire et le Ghana.
Dans cette partie frontalière, seulement un fleuve sépare le Ghana et la Côte d’Ivoire, a-t-il fait observer, assurant que les forces ivoiriennes disposent de moyens nécessaires pour sécuriser la zone de Nougoua, une sous-préfecture de Noé.
Depuis la fin de la crise postélectorale ivoirienne, qui a fait officiellement plus de 3.000 morts entre décembre 2010 et avril 2011, des postes-frontières sont la cible d’inconnus armés dans cette localité du pays.
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