Un projet visant l’éradication de la maladie à virus Ebola en Afrique de l’Ouest et essentiellement basé sur la communication, a été lancé mardi à Dakar par l’ONG Oxfam, a-t-on appris auprès de ses initiateurs.
Selon le directeur régional d’Oxfam, Dawit Beyene, qui finance le projet à hauteur de 216.000 euros, la bataille contre Ebola n’est pas finie. La lutte contre l’épidémie ne sera terminée que "dans les années à venir", a-t-il estimé, soulignant la nécessité d’assurer, par la prévention, le suivi des stratégies mises en place depuis que la maladie s’est déclarée en Afrique de l’Ouest.
"La prévention est facile tant que la population sait ce qu’il faut faire", a-t-il ajouté, estimant qu’il faut communiquer et informer les communautés "parce que c’est indispensable pour contrôler et éradiquer cette épidémie".
Le représentant du ministre de la Santé et de la Prévention, docteur Aloyse Diouf, a relevé que "le virus est encore dans la sous-région et qu’il faut rester vigilant parce que Ebola a mis à nu le manque de respect des mesures d’hygiène des populations".
"Il faut permettre aux structures de santé d’être assez solides pour assurer une riposte face à Ebola et aussi face à d’autres maladies épidémiologiques pour éviter les actions spontanées", a-t-il poursuivi.
Souleymane Niang, directeur de West africa democracy radio (radio qui couvre douze pays ouest-africains et qui assure le volet communication du projet), a considéré qu’il faut "soutenir et assurer le suivi de la gouvernance efficace de la réponse à l’épidémie au niveau régional".
Il est d’avis qu’il faut aller au-delà "du décompte macabre et former les journalistes et professionnels de la communication afin qu’ils puissent identifier et satisfaire les besoins en informations des communautés, en tenant compte des réalités socioculturelles".
Selon le directeur régional d’Oxfam, Dawit Beyene, qui finance le projet à hauteur de 216.000 euros, la bataille contre Ebola n’est pas finie. La lutte contre l’épidémie ne sera terminée que "dans les années à venir", a-t-il estimé, soulignant la nécessité d’assurer, par la prévention, le suivi des stratégies mises en place depuis que la maladie s’est déclarée en Afrique de l’Ouest.
"La prévention est facile tant que la population sait ce qu’il faut faire", a-t-il ajouté, estimant qu’il faut communiquer et informer les communautés "parce que c’est indispensable pour contrôler et éradiquer cette épidémie".
Le représentant du ministre de la Santé et de la Prévention, docteur Aloyse Diouf, a relevé que "le virus est encore dans la sous-région et qu’il faut rester vigilant parce que Ebola a mis à nu le manque de respect des mesures d’hygiène des populations".
"Il faut permettre aux structures de santé d’être assez solides pour assurer une riposte face à Ebola et aussi face à d’autres maladies épidémiologiques pour éviter les actions spontanées", a-t-il poursuivi.
Souleymane Niang, directeur de West africa democracy radio (radio qui couvre douze pays ouest-africains et qui assure le volet communication du projet), a considéré qu’il faut "soutenir et assurer le suivi de la gouvernance efficace de la réponse à l’épidémie au niveau régional".
Il est d’avis qu’il faut aller au-delà "du décompte macabre et former les journalistes et professionnels de la communication afin qu’ils puissent identifier et satisfaire les besoins en informations des communautés, en tenant compte des réalités socioculturelles".