Les experts de Guinée et de Côte d’ivoire ont opté pour des rencontres transfrontalières périodiques en vue d’une "vigilance accrue" dans la zone frontalière, a appris Xinhua mardi de source sanitaire.
Selon des responsables sanitaires ivoiriens, le rapprochement des foyers de la maladie des frontières ivoiriennes justifie l’opportunité des rencontres dans la perspective de mener des actions efficaces.
"La région de Lola en Guinée où sévit le virus partage une même frontière avec les régions du Tonkpi, du Bafing et du Kabadougou en Côte d’Ivoire", a fait remarquer le directeur régional de la santé du Kabadougou (nord ouest ivoirien) le docteur Antoine Kouadio.
Selon lui, la menace est prise au sérieux et la lutte contre Ebola est effective dans les différentes régions.
Le Dr Kouadio a toutefois relevé des difficultés liées à la porosité des frontières et au manque de moyens de mobilité dans certaines zones, puis a recommandé une synergie d’actions des autorités et des experts en santé guinéens et ivoiriens pour prendre les mesures correctives.
"Dans chaque district sanitaire de la région du Tonkpi (ouest ivoirien) il y a un site d’isolement. Nous avons aussi un centre de traitement. De plus en plus de besoins sont en train d’être satisfaits", a relevé le directeur régional de la santé du Tonkpi le Dr Seydou Doumbia, faisant état de ce que "la vigilance est toujours de mise et mérite d’être renforcée".
A plusieurs occasions, autorités et experts ouest africains ont relevé la nécessité d’élaborer un plan complet de riposte opérationnel inter-pays en matière de lutte contre la fièvre hémorragique Ebola.
Lors d’une récente rencontre à Conakry, le directeur régional de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) Dr Luis Sambo a appelé à renforcer les actions transfrontalières et communautaires pour que l’ensemble de la sous-région soit libre de cette maladie qui provoque un retard au niveau des pays en termes de développement sanitaire, social et économique.
Le virus Ebola apparu depuis plus d'un an en Guinée forestière s’est propagé dans le pays, puis a atteint des pays de la sous-région que sont le Libéria, la Sierra Leone et le Nigéria.
Selon, l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la maladie a fait à ce jour près de 9 000 morts.
Aucun cas de virus Ebola n’a encore été déclaré en Côte d'Ivoire, note-t-on.
Selon des responsables sanitaires ivoiriens, le rapprochement des foyers de la maladie des frontières ivoiriennes justifie l’opportunité des rencontres dans la perspective de mener des actions efficaces.
"La région de Lola en Guinée où sévit le virus partage une même frontière avec les régions du Tonkpi, du Bafing et du Kabadougou en Côte d’Ivoire", a fait remarquer le directeur régional de la santé du Kabadougou (nord ouest ivoirien) le docteur Antoine Kouadio.
Selon lui, la menace est prise au sérieux et la lutte contre Ebola est effective dans les différentes régions.
Le Dr Kouadio a toutefois relevé des difficultés liées à la porosité des frontières et au manque de moyens de mobilité dans certaines zones, puis a recommandé une synergie d’actions des autorités et des experts en santé guinéens et ivoiriens pour prendre les mesures correctives.
"Dans chaque district sanitaire de la région du Tonkpi (ouest ivoirien) il y a un site d’isolement. Nous avons aussi un centre de traitement. De plus en plus de besoins sont en train d’être satisfaits", a relevé le directeur régional de la santé du Tonkpi le Dr Seydou Doumbia, faisant état de ce que "la vigilance est toujours de mise et mérite d’être renforcée".
A plusieurs occasions, autorités et experts ouest africains ont relevé la nécessité d’élaborer un plan complet de riposte opérationnel inter-pays en matière de lutte contre la fièvre hémorragique Ebola.
Lors d’une récente rencontre à Conakry, le directeur régional de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) Dr Luis Sambo a appelé à renforcer les actions transfrontalières et communautaires pour que l’ensemble de la sous-région soit libre de cette maladie qui provoque un retard au niveau des pays en termes de développement sanitaire, social et économique.
Le virus Ebola apparu depuis plus d'un an en Guinée forestière s’est propagé dans le pays, puis a atteint des pays de la sous-région que sont le Libéria, la Sierra Leone et le Nigéria.
Selon, l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la maladie a fait à ce jour près de 9 000 morts.
Aucun cas de virus Ebola n’a encore été déclaré en Côte d'Ivoire, note-t-on.