L’Union européenne a ouvert à Abidjan au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Treichville un centre de référence de traitement d’éventuels cas de fièvre hémorragique à virus Ebola qui sévit dans la sous-région ouest africaine.
Le centre bâti sur 3 000 mètres carrés et comptant 24 lits grâce à un financement de l’UE à hauteur de 188 millions FCFA a été visité lundi par le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, selon une note d’information de la Primature.
Le centre permet de diagnostiquer et de prendre en charge tous les cas éventuels d’Ebola et, à terme, toutes les autres maladies hautement infectieuses.
Il comprend une zone de triage, une zone d’observation, une zone de soins, une zone technique, une zone de conseils aux familles, une zone pour le personnel médical, une pharmacie, un incinérateur et une morgue.
Selon la ministre de la Santé, Dr Raymonde Goudou-Coffie, qui expliqué les spécificités de chaque compartiment non sans relever les "grandes précautions" prises pour la sécurité du personnel médical, la zone de triage permet de séparer les cas suspects des cas confirmés.
Elle a ajouté que l’examen d’un échantillon de sang prélevé chez les cas suspects et transmis à l’Institut Pasteur d’Abidjan permet au bout de trois heures de disposer de résultats qui orientent le reste de la démarche sur le site.
"En cas de confirmation, le malade est pris en charge dans un bloc dédié comprenant 12 lits qui fait l’objet d’un confinement maximum", a souligné la ministre de la Santé en insistant sur les mesures de précautions à adopter par le personnel médical dans la manipulation des cas suspects et des cas confirmés.
"Toujours revêtus de leurs équipements de protection individuelle, les agents de santé sont tenus à la plus grande vigilance, pratiquant la désinfection et l’incinération de tout objet souillé par les liquides biologiques des malades", a précisé Mme Goudou-Coffie.
Aucun cas de maladie à virus Ebola n’a été, à ce jour, enregistré en Côte d’Ivoire malgré la proximité du pays avec la Guinée, le Liberia et la Sierra Leone où le virus a fait au moins 8 500 morts sur près de 22 000 cas enregistrés, selon l’OMS.
Le centre bâti sur 3 000 mètres carrés et comptant 24 lits grâce à un financement de l’UE à hauteur de 188 millions FCFA a été visité lundi par le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, selon une note d’information de la Primature.
Le centre permet de diagnostiquer et de prendre en charge tous les cas éventuels d’Ebola et, à terme, toutes les autres maladies hautement infectieuses.
Il comprend une zone de triage, une zone d’observation, une zone de soins, une zone technique, une zone de conseils aux familles, une zone pour le personnel médical, une pharmacie, un incinérateur et une morgue.
Selon la ministre de la Santé, Dr Raymonde Goudou-Coffie, qui expliqué les spécificités de chaque compartiment non sans relever les "grandes précautions" prises pour la sécurité du personnel médical, la zone de triage permet de séparer les cas suspects des cas confirmés.
Elle a ajouté que l’examen d’un échantillon de sang prélevé chez les cas suspects et transmis à l’Institut Pasteur d’Abidjan permet au bout de trois heures de disposer de résultats qui orientent le reste de la démarche sur le site.
"En cas de confirmation, le malade est pris en charge dans un bloc dédié comprenant 12 lits qui fait l’objet d’un confinement maximum", a souligné la ministre de la Santé en insistant sur les mesures de précautions à adopter par le personnel médical dans la manipulation des cas suspects et des cas confirmés.
"Toujours revêtus de leurs équipements de protection individuelle, les agents de santé sont tenus à la plus grande vigilance, pratiquant la désinfection et l’incinération de tout objet souillé par les liquides biologiques des malades", a précisé Mme Goudou-Coffie.
Aucun cas de maladie à virus Ebola n’a été, à ce jour, enregistré en Côte d’Ivoire malgré la proximité du pays avec la Guinée, le Liberia et la Sierra Leone où le virus a fait au moins 8 500 morts sur près de 22 000 cas enregistrés, selon l’OMS.