Abidjan - Le gouvernement a adopté deux textes qui viennent actualiser le cadre d’exercice de l’activité pharmaceutique qui va prendre désormais en compte, la pharmacopée.
Il s’agit notamment d’un projet de loi portant organisation et fonctionnement de l’ordre des pharmaciens et d’un autre portant code de déontologie de la profession de pharmacien, qui viennent remplacer des textes datant de 1960.
"Il faut dire que la loi précédente datait de 1960. En 1960, notre pays avait une dizaine de pharmacies. Aujourd’hui, il y en a 1500", a relevé le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, annonçant ces nouveaux textes lors de son compte rendu du conseil des ministres.
Selon lui, il s’agit notamment pour le gouvernement de "moderniser la profession pharmaceutique par l’adaptation de son organisation et de son fonctionnement au contexte nouveau d’exercice de l’activité en elle-même".
"Le nouveau dispositif prévoit la restructuration du conseil national de l’ordre des pharmaciens et innove avec la prise en compte de la pharmacopée traditionnelle dans les activités pharmaceutiques", a noté le ministre Nabagné Koné.
Le nouveau cadre prend également en compte différentes sections qui composent aujourd’hui le corps des pharmaciens, a-t-il également relevé.
"Il y a par exemple des pharmaciens d’officine, titulaire, assistant ou gérant; pharmaciens enseignants, biologistes ou fonctionnaires", a fait observer le porte-parole du gouvernement, informant en outre que le nouveau cadre crée même une section pour les pharmaciens diplômés qui n’exercent pas encore l’activité de pharmacien.
Le texte sur la déontologie de la profession insiste pour sa part, entre autres, sur "la règle de probité d’honorabilité de la profession".
kg/cmas
Il s’agit notamment d’un projet de loi portant organisation et fonctionnement de l’ordre des pharmaciens et d’un autre portant code de déontologie de la profession de pharmacien, qui viennent remplacer des textes datant de 1960.
"Il faut dire que la loi précédente datait de 1960. En 1960, notre pays avait une dizaine de pharmacies. Aujourd’hui, il y en a 1500", a relevé le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, annonçant ces nouveaux textes lors de son compte rendu du conseil des ministres.
Selon lui, il s’agit notamment pour le gouvernement de "moderniser la profession pharmaceutique par l’adaptation de son organisation et de son fonctionnement au contexte nouveau d’exercice de l’activité en elle-même".
"Le nouveau dispositif prévoit la restructuration du conseil national de l’ordre des pharmaciens et innove avec la prise en compte de la pharmacopée traditionnelle dans les activités pharmaceutiques", a noté le ministre Nabagné Koné.
Le nouveau cadre prend également en compte différentes sections qui composent aujourd’hui le corps des pharmaciens, a-t-il également relevé.
"Il y a par exemple des pharmaciens d’officine, titulaire, assistant ou gérant; pharmaciens enseignants, biologistes ou fonctionnaires", a fait observer le porte-parole du gouvernement, informant en outre que le nouveau cadre crée même une section pour les pharmaciens diplômés qui n’exercent pas encore l’activité de pharmacien.
Le texte sur la déontologie de la profession insiste pour sa part, entre autres, sur "la règle de probité d’honorabilité de la profession".
kg/cmas