Daloa - Le directeur régional de la Société de distribution d’eau en Côte d’Ivoire (SODECI) chargé du centre-ouest, Tondossama Broulaye, a demandé mardi à la population de sa zone de compétence et particulièrement à celle de la ville de Daloa, de "faire confiance à sa structure qui met tout en œuvre pour leur livrer de l’eau de qualité."
Répondant à la préoccupation des consommateurs relativement à la qualité de l’eau, au cours d’une conférence qu’il a animée sur les missions et le fonctionnement de la SODECI, dans le cadre des conférences des directeurs et chefs de services, M. Tondossama a précisé que la qualité de l’eau n’est pas liée seulement à sa couleur, mais à beaucoup d’autres paramètres qui entrent en jeu.
Il convient de souligner qu’entre autres griefs comme les fréquentes coupures d’eau, les consommateurs de la cité des antilopes reprochent souvent à la SODECI de livrer de l’eau dont la coloration laisse par moment à désirer.
Le directeur de la SODECI chargé du centre-Ouest, qui reconnaît ce phénomène, explique cependant qu’il est dû à la vétusté du réseau des conduites, vieux de 40 ans. Mais il rassure en même temps que cela n’affecte pas véritablement la qualité de l’eau, car "la SODECI ne peut en aucun cas mettre de l’eau à disposition sans faire des analyses préalables."
Pour tranquilliser les consommateurs, il a indiqué que la SODECI n’est pas la seule structure qui soit au début et à la fin du contrôle de la qualité de l’eau. Mais il y a des structures étatiques qui surveillent également l’eau produite à travers des prélèvements inopinés et des analyses dont les résultats sont transmises à la tutelle, en l'occurrence le ministère des Infrastructures économiques.
S’agissant des difficultés en termes d’approvisionnement en eau de la ville de Daloa, le DR de la SODECI a expliqué que la faible capacité du château d’eau (2000 m3) ne permet pas toujours de répondre aux besoins face à de fréquentes coupures liées directement aux coupures d’électricité, dans la mesure où l’alimentation en électricité de la station de traitement d’eau, située à près de 30 km de la ville, n’est pas très stable.
Toutefois, la note d’espoir, a-t-il dit, est qu’il y a, à court et moyen termes, des projets envisagés par l’Etat pour renforcer la capacité de production et de distribution de l’eau dans la direction régionale du centre-ouest, couvrant notamment les régions du Haut-Sassandra, de la Marahoué, du Béré et du Worodougou, avec près de 36.000 abonnés.
(AIP)
yy/akn/cmas
Répondant à la préoccupation des consommateurs relativement à la qualité de l’eau, au cours d’une conférence qu’il a animée sur les missions et le fonctionnement de la SODECI, dans le cadre des conférences des directeurs et chefs de services, M. Tondossama a précisé que la qualité de l’eau n’est pas liée seulement à sa couleur, mais à beaucoup d’autres paramètres qui entrent en jeu.
Il convient de souligner qu’entre autres griefs comme les fréquentes coupures d’eau, les consommateurs de la cité des antilopes reprochent souvent à la SODECI de livrer de l’eau dont la coloration laisse par moment à désirer.
Le directeur de la SODECI chargé du centre-Ouest, qui reconnaît ce phénomène, explique cependant qu’il est dû à la vétusté du réseau des conduites, vieux de 40 ans. Mais il rassure en même temps que cela n’affecte pas véritablement la qualité de l’eau, car "la SODECI ne peut en aucun cas mettre de l’eau à disposition sans faire des analyses préalables."
Pour tranquilliser les consommateurs, il a indiqué que la SODECI n’est pas la seule structure qui soit au début et à la fin du contrôle de la qualité de l’eau. Mais il y a des structures étatiques qui surveillent également l’eau produite à travers des prélèvements inopinés et des analyses dont les résultats sont transmises à la tutelle, en l'occurrence le ministère des Infrastructures économiques.
S’agissant des difficultés en termes d’approvisionnement en eau de la ville de Daloa, le DR de la SODECI a expliqué que la faible capacité du château d’eau (2000 m3) ne permet pas toujours de répondre aux besoins face à de fréquentes coupures liées directement aux coupures d’électricité, dans la mesure où l’alimentation en électricité de la station de traitement d’eau, située à près de 30 km de la ville, n’est pas très stable.
Toutefois, la note d’espoir, a-t-il dit, est qu’il y a, à court et moyen termes, des projets envisagés par l’Etat pour renforcer la capacité de production et de distribution de l’eau dans la direction régionale du centre-ouest, couvrant notamment les régions du Haut-Sassandra, de la Marahoué, du Béré et du Worodougou, avec près de 36.000 abonnés.
(AIP)
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