Sinfra – La grève, déclenchée lundi par 14 syndicats du secteur Education/Formation, est timidement suivie par les enseignants à Sinfra.
Lundi, premier jour de la grève, les cours se sont déroulés normalement dans tous les établissements primaires et secondaires.
La raison évoquée par la plupart des enseignants rencontrés par l’AIP est que les syndicats auxquels ils sont affiliés ne sont pas signataires de ce mot d'ordre.
Mardi, les éducateurs, les conseillers d'éducation et d'orientation, membres du syndicat national des personnels d'éducation de Côte d'Ivoire (SYNAPECI), et les enseignants du syndicat libre des enseignants du secondaire général(SYLEG) du lycée municipal de Sinfra ont respecté le mot d’ordre de grève, obligeant la fermeture de l’établissement.
Au lycée moderne Henri Konan Bédié de Sinfra, c’est le personnel d'éducation qui suit à 90% le mot d’ordre alors que les enseignants continuent de dispenser normalement les cours.
Quatorze syndicats ont déclenché quatre jours d’arrêt de travail pour réclamer le paiement des effets financiers du déblocage des avancements indiciaires à fin janvier 2015 et le paiement du stock des arriérés dûs aux effets financiers du reclassement et de la bonification indiciaire.
gnj/kkf/kp
Lundi, premier jour de la grève, les cours se sont déroulés normalement dans tous les établissements primaires et secondaires.
La raison évoquée par la plupart des enseignants rencontrés par l’AIP est que les syndicats auxquels ils sont affiliés ne sont pas signataires de ce mot d'ordre.
Mardi, les éducateurs, les conseillers d'éducation et d'orientation, membres du syndicat national des personnels d'éducation de Côte d'Ivoire (SYNAPECI), et les enseignants du syndicat libre des enseignants du secondaire général(SYLEG) du lycée municipal de Sinfra ont respecté le mot d’ordre de grève, obligeant la fermeture de l’établissement.
Au lycée moderne Henri Konan Bédié de Sinfra, c’est le personnel d'éducation qui suit à 90% le mot d’ordre alors que les enseignants continuent de dispenser normalement les cours.
Quatorze syndicats ont déclenché quatre jours d’arrêt de travail pour réclamer le paiement des effets financiers du déblocage des avancements indiciaires à fin janvier 2015 et le paiement du stock des arriérés dûs aux effets financiers du reclassement et de la bonification indiciaire.
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