Rentré de l’hexagone où il a passé des mois pour des raisons de santé, Essy Amara s’était rendu le lundi 16 février dernier à Daoukro pour rencontrer Henri Konan Bédié.
Si rien n’avait jusque-là filtré de ce tête-à-tête, le candidat à la présidentielle de 2015 (Ndrl Essy Amara) , a levé un coin de voile lundi sur les ondes de « RFI » sur le contenu de leurs échanges.
Selon le diplomate de carrière, les discussions se sont déroulées dans la courtoisie, mais il savait bien que le président du PDCI ne pouvait pas revenir sur sa position concernant l’appel de Daoukro.
« Non, non! Ce n'était pas tendu. Vous savez, on se connaît depuis très longtemps, on a beaucoup de choses en commun. Non, c'était très convivial », a-t-il révélé, avant d’ajouter. « Oui, on a eu à discuter de la situation. Je lui ai dit, plus ou moins, les raisons pour lesquelles je suis candidat. Il m'a aussi dit les raisons pour lesquelles il a fait cet appel de Daoukro.
Donc, en fin de compte, chacun a exposé sa position. Non, écoutez, je ne suis pas rentré dans ce genre de débat, parce que je le connais. Bon, je ne suis pas parti pour le convaincre de revenir sur une décision. C'est un chef d’État. Un chef d’État a quand même des positions, et donc je respecte ses positions. En fin de compte, je crois qu'il a compris mes motivations, j'ai compris les siennes. On s'est séparé en de bons termes. Ce n'était pas avec lui qu'il fallait vraiment ouvrir ce débat. Il était, pour moi, impensable que j'aille le convaincre de revenir sur sa décision. Non, ce n'est pas possible! »
Selon des informations en notre possession, Essy Amara, Charles Konan Banny, KKB et Jérôme Brou, candidats à la présidentielle de 2015, et issus des rangs du PDCI-RDA, organiseront dans les prochains jours une convention en vue de designer un des leurs, qui affrontera Ouattara dans les urnes en octobre prochain.
Si rien n’avait jusque-là filtré de ce tête-à-tête, le candidat à la présidentielle de 2015 (Ndrl Essy Amara) , a levé un coin de voile lundi sur les ondes de « RFI » sur le contenu de leurs échanges.
Selon le diplomate de carrière, les discussions se sont déroulées dans la courtoisie, mais il savait bien que le président du PDCI ne pouvait pas revenir sur sa position concernant l’appel de Daoukro.
« Non, non! Ce n'était pas tendu. Vous savez, on se connaît depuis très longtemps, on a beaucoup de choses en commun. Non, c'était très convivial », a-t-il révélé, avant d’ajouter. « Oui, on a eu à discuter de la situation. Je lui ai dit, plus ou moins, les raisons pour lesquelles je suis candidat. Il m'a aussi dit les raisons pour lesquelles il a fait cet appel de Daoukro.
Donc, en fin de compte, chacun a exposé sa position. Non, écoutez, je ne suis pas rentré dans ce genre de débat, parce que je le connais. Bon, je ne suis pas parti pour le convaincre de revenir sur une décision. C'est un chef d’État. Un chef d’État a quand même des positions, et donc je respecte ses positions. En fin de compte, je crois qu'il a compris mes motivations, j'ai compris les siennes. On s'est séparé en de bons termes. Ce n'était pas avec lui qu'il fallait vraiment ouvrir ce débat. Il était, pour moi, impensable que j'aille le convaincre de revenir sur sa décision. Non, ce n'est pas possible! »
Selon des informations en notre possession, Essy Amara, Charles Konan Banny, KKB et Jérôme Brou, candidats à la présidentielle de 2015, et issus des rangs du PDCI-RDA, organiseront dans les prochains jours une convention en vue de designer un des leurs, qui affrontera Ouattara dans les urnes en octobre prochain.