Agboville - Une fillette de neuf ans a été violentée samedi par des hommes en tenue, pour avoir jeté des ordures dans une décharge sauvage non loin du carrefour Bombet, à Agboville, a appris l’AIP de la victime, en présence de ses parents.
"Ils étaient quatre et deux m’ont saisi par le bras, fait traîner et rouler dans le tas d’ordure", a affirmé, en pleurs, Dossa Laurencia Serdanise, élève en classe de sixième au lycée moderne III d’Agboville.
Plusieurs stigmates étaient visibles sur les bras, les jambes, le dos ainsi que le visage de la fillette qui soutient avoir été séquestrée durant un long moment dans un cachot en bois servant de poste d’observation.
A entendre la jeune fille, c’est à cet endroit que tous les habitants du quartier versent les ordures.
"C’est à cet endroit que les tricycles de la mairie déversent aussi les ordures", soutient le père Dossa Mêtonou Marcel dont les propos ont été confirmés par les services techniques de la mairie.
Ajusteur de patins auto, le père de la fille dit avoir été gardé dans le cachot jusqu’à 3H de l’après-midi, avant d’être libéré.
"Je suis à la fois triste et inquiet, puisque je connais nommément ces hommes dont le poste est non loin de mon domicile", a dit le père Dossa.
Approchés, les hommes en tenue disent n’avoir pas été autorisés à parler au journaliste de l’AIP.
"Nous ne sommes pas autorisés à parler à la presse", ont-ils rétorqué.
Dd/kp
"Ils étaient quatre et deux m’ont saisi par le bras, fait traîner et rouler dans le tas d’ordure", a affirmé, en pleurs, Dossa Laurencia Serdanise, élève en classe de sixième au lycée moderne III d’Agboville.
Plusieurs stigmates étaient visibles sur les bras, les jambes, le dos ainsi que le visage de la fillette qui soutient avoir été séquestrée durant un long moment dans un cachot en bois servant de poste d’observation.
A entendre la jeune fille, c’est à cet endroit que tous les habitants du quartier versent les ordures.
"C’est à cet endroit que les tricycles de la mairie déversent aussi les ordures", soutient le père Dossa Mêtonou Marcel dont les propos ont été confirmés par les services techniques de la mairie.
Ajusteur de patins auto, le père de la fille dit avoir été gardé dans le cachot jusqu’à 3H de l’après-midi, avant d’être libéré.
"Je suis à la fois triste et inquiet, puisque je connais nommément ces hommes dont le poste est non loin de mon domicile", a dit le père Dossa.
Approchés, les hommes en tenue disent n’avoir pas été autorisés à parler au journaliste de l’AIP.
"Nous ne sommes pas autorisés à parler à la presse", ont-ils rétorqué.
Dd/kp
