L’Organisation pour la coopération et du développement économique (OCDE) a présenté le 9 mars, lors d’un séminaire à Abidjan, les premiers résultats de l’étude sollicitée par le gouvernement sur l’élaboration du plan stratégique Côte d’Ivoire pays émergent en 2020. Le Premier ministre, ministre de l’Économie, des Finances et du Budget, M. Daniel Kablan Duncan, avec quelques membres du gouvernement impliqués, se sont vu présenter à cette occasion, la première phase de cette étude qui a porté sur l’identification des obstacles à l’émergence de la Côte d’Ivoire suivie de l’esquisse de la deuxième phase, qui elle, va aborder de front ces obstacles.
Pour ce faire, le Chef du gouvernement a annoncé des échanges entre l’OCDE et l’administration nationale, le secteur privé, la société civile et les universitaires en vue « de faire rejaillir de cette interaction, un document final » qui aura le bénéfice de prendre en compte, aussi bien l’expertise internationale de l’OCDE, que les réalités propres à la société ivoirienne.
L’enjeu de cette démarche est d’identifier les forces et faiblesses de l’économie nationale, ainsi que ces secteurs porteurs, dans l’objectif de proposer des actions, des mesures et un chronogramme de politique publique à mettre en œuvre pour atteindre l’émergence en 2020, a fait savoir le Chef du gouvernement. Selon lui, cette analyse devra mettre en exergue les infrastructures structurantes, prendre en compte les facteurs endogènes et exogènes au développement de la Côte d’Ivoire et évaluer ces effets sur le pays.
Aux dires du Chef de l’Unité des examens multidimensionnels du centre de développement de l’OCDE, M. Jan Rielaender, les résultats de la première phase de cette étude révèlent un certain nombre de contraintes à l’émergence de la Côte d’Ivoire sur lesquelles le gouvernement se devra d’agir. Il s’agit entre autres, d’accroitre les compétences au niveau national par l’éducation, d’accroitre la compétitivité des secteurs productifs, de renforcer les infrastructures de transport d’énergie, d’électricité, des TIC, de réviser les systèmes de financement et leurs sources, aussi bien public que du secteur bancaire, afin de faciliter l’accès des PME aux crédits. Toutes ces actions devront s’effectuer autour d’une gouvernance adéquate, dans laquelle l’État est capable d’assurer la fourniture des services publics, a-t-il souligné.
Cette mission de l’OCDE va connaitre son clou lors de la conférence internationale sur l’émergence en Afrique qui se tiendra à Abidjan du 18 au 20 mars prochain. Pour M. Jan Rielaender, cette conférence sera l’occasion pour son Unité de partager les résultats de ces travaux.
C’est en septembre 2014 que le gouvernement ivoirien a sollicité l’OCDE en vue réaliser cette étude sur ses domaines de compétence majeurs que sont le développement et l’émergence des pays. C’est l’Unité des examens multidimensionnels du centre de développement qui a été chargé de mener cette mission, car elle assure la relation entre les 30 pays membres de l’OCDE et les pays non-membres parmi lesquels figure la Côte d’Ivoire.
Pour ce faire, le Chef du gouvernement a annoncé des échanges entre l’OCDE et l’administration nationale, le secteur privé, la société civile et les universitaires en vue « de faire rejaillir de cette interaction, un document final » qui aura le bénéfice de prendre en compte, aussi bien l’expertise internationale de l’OCDE, que les réalités propres à la société ivoirienne.
L’enjeu de cette démarche est d’identifier les forces et faiblesses de l’économie nationale, ainsi que ces secteurs porteurs, dans l’objectif de proposer des actions, des mesures et un chronogramme de politique publique à mettre en œuvre pour atteindre l’émergence en 2020, a fait savoir le Chef du gouvernement. Selon lui, cette analyse devra mettre en exergue les infrastructures structurantes, prendre en compte les facteurs endogènes et exogènes au développement de la Côte d’Ivoire et évaluer ces effets sur le pays.
Aux dires du Chef de l’Unité des examens multidimensionnels du centre de développement de l’OCDE, M. Jan Rielaender, les résultats de la première phase de cette étude révèlent un certain nombre de contraintes à l’émergence de la Côte d’Ivoire sur lesquelles le gouvernement se devra d’agir. Il s’agit entre autres, d’accroitre les compétences au niveau national par l’éducation, d’accroitre la compétitivité des secteurs productifs, de renforcer les infrastructures de transport d’énergie, d’électricité, des TIC, de réviser les systèmes de financement et leurs sources, aussi bien public que du secteur bancaire, afin de faciliter l’accès des PME aux crédits. Toutes ces actions devront s’effectuer autour d’une gouvernance adéquate, dans laquelle l’État est capable d’assurer la fourniture des services publics, a-t-il souligné.
Cette mission de l’OCDE va connaitre son clou lors de la conférence internationale sur l’émergence en Afrique qui se tiendra à Abidjan du 18 au 20 mars prochain. Pour M. Jan Rielaender, cette conférence sera l’occasion pour son Unité de partager les résultats de ces travaux.
C’est en septembre 2014 que le gouvernement ivoirien a sollicité l’OCDE en vue réaliser cette étude sur ses domaines de compétence majeurs que sont le développement et l’émergence des pays. C’est l’Unité des examens multidimensionnels du centre de développement qui a été chargé de mener cette mission, car elle assure la relation entre les 30 pays membres de l’OCDE et les pays non-membres parmi lesquels figure la Côte d’Ivoire.