La révision du code électoral avant l’élection prévue en octobre en Côte d’Ivoire était au centre d’une séance de travail lundi à Abidjan entre le ministre de l’Intérieur, Hamed Bakayoko, et la Commission électorale indépendante (CEI).
A l’issue de leurs échanges, Hamed Bakayoko a déclaré à la presse qu’il s’agissait pour son ministère de venir "échanger avec la Commission électorale indépendante sur les textes législatifs relatifs à l’organisation des prochaines élections, notamment la révision du code électoral".
La CEI a transmis récemment, conformément à la loi, un projet de révision du code électoral au gouvernement en prélude à la cruciale élection présidentielle d’octobre.
Le conseil des ministres devrait, après analyse, transmettre le texte à l’Assemblée nationale pour examen et adoption.
"Cette séance de travail avait donc pour objectif de rapprocher les points de vue des deux parties", a indiqué le ministre de l’Intérieur.
"Le code électoral a connu divers ajustements en raison du contexte de crise qui caractérisait le cycle électoral passé et il devrait être relu et adapté pour les prochains scrutins", explique-t-on à la CEI.
L’élection présidentielle d’octobre doit traduire le retour de la paix et la normalisation de la vie politique en Côte d’Ivoire après la crise post-électorale de 2010-2011 qui a fait au moins 3 000 morts dans le pays.
A l’issue de leurs échanges, Hamed Bakayoko a déclaré à la presse qu’il s’agissait pour son ministère de venir "échanger avec la Commission électorale indépendante sur les textes législatifs relatifs à l’organisation des prochaines élections, notamment la révision du code électoral".
La CEI a transmis récemment, conformément à la loi, un projet de révision du code électoral au gouvernement en prélude à la cruciale élection présidentielle d’octobre.
Le conseil des ministres devrait, après analyse, transmettre le texte à l’Assemblée nationale pour examen et adoption.
"Cette séance de travail avait donc pour objectif de rapprocher les points de vue des deux parties", a indiqué le ministre de l’Intérieur.
"Le code électoral a connu divers ajustements en raison du contexte de crise qui caractérisait le cycle électoral passé et il devrait être relu et adapté pour les prochains scrutins", explique-t-on à la CEI.
L’élection présidentielle d’octobre doit traduire le retour de la paix et la normalisation de la vie politique en Côte d’Ivoire après la crise post-électorale de 2010-2011 qui a fait au moins 3 000 morts dans le pays.