Aboisso – Dame Assomou Bèyobèhon, 70 ans, bien portante et jouissant de toutes ses facultés, est portée disparue depuis dimanche, a appris l’AIP auprès de sa famille.
Ce dimanche-là, elle est allée à la prière au Temple méthodiste, au quartier Commerce et a rendu visite à son petit-fils Ehoussou Noël, 39 ans, au quartier Sokoura.
Il était environ 16 h 45 quand Ehoussou Noël, lui-même, a mis sa grand-mère, dans un taxi communal qui devait la conduire au quartier SOS, près de l’Hôtel Rocher. Ce voyage ne pouvait pas excéder le quart d’heure. Le chauffeur de ce taxi et Ehoussou Noël se connaissent bien.
A 19 h, Ehoussou Noël reçoit un coup de fil de la maison familiale pour savoir pourquoi maman Bèyobèhon n’était pas encore rentrée.
Le chauffeur de taxi dit l’avoir bel et bien déposée au lieu convenu avec Ehoussou. Elle lui aurait même demandé de l’avancer un peu plus, vu que la maison familiale était à une certaine distance. Mais, il lui aurait refusé ce service à cause des autres passagers qui s’impatientaient dans le taxi.
Mais, depuis ce "portail vert" où dame Bêyobêhon est descendue du taxi, selon le chauffeur du taxi, personne ne l’a revue. Aucun voisin, aucun passant, sur cette voie pourtant reprofilée et bien dégagée. Personne non plus sous l’appatam du camp de prière situé à une cinquantaine de mètres du portail vert, par où la vieille devait absolument passer pour rejoindre sa maison, qui n’a pas désempli ce dimanche de surcroît.
Des battues jusqu’à Bakro et Biaka (localités vers lesquelles conduit cette voie) et dans toute la brousse environnante n’ont jusqu’à ce jour rien donné. Les parents, désemparés, craignent que leur grand-mère ait été enlevée.
(AIP)
cb/aaa/ask
Ce dimanche-là, elle est allée à la prière au Temple méthodiste, au quartier Commerce et a rendu visite à son petit-fils Ehoussou Noël, 39 ans, au quartier Sokoura.
Il était environ 16 h 45 quand Ehoussou Noël, lui-même, a mis sa grand-mère, dans un taxi communal qui devait la conduire au quartier SOS, près de l’Hôtel Rocher. Ce voyage ne pouvait pas excéder le quart d’heure. Le chauffeur de ce taxi et Ehoussou Noël se connaissent bien.
A 19 h, Ehoussou Noël reçoit un coup de fil de la maison familiale pour savoir pourquoi maman Bèyobèhon n’était pas encore rentrée.
Le chauffeur de taxi dit l’avoir bel et bien déposée au lieu convenu avec Ehoussou. Elle lui aurait même demandé de l’avancer un peu plus, vu que la maison familiale était à une certaine distance. Mais, il lui aurait refusé ce service à cause des autres passagers qui s’impatientaient dans le taxi.
Mais, depuis ce "portail vert" où dame Bêyobêhon est descendue du taxi, selon le chauffeur du taxi, personne ne l’a revue. Aucun voisin, aucun passant, sur cette voie pourtant reprofilée et bien dégagée. Personne non plus sous l’appatam du camp de prière situé à une cinquantaine de mètres du portail vert, par où la vieille devait absolument passer pour rejoindre sa maison, qui n’a pas désempli ce dimanche de surcroît.
Des battues jusqu’à Bakro et Biaka (localités vers lesquelles conduit cette voie) et dans toute la brousse environnante n’ont jusqu’à ce jour rien donné. Les parents, désemparés, craignent que leur grand-mère ait été enlevée.
(AIP)
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