A l’initiative de l’Union africaine de la mutualité bureau Afrique de l’Ouest (UAM-AFRO), un rencontre des mutuelles sociales ivoiriennes a eu lieu le jeudi 12 mars 2015 à la Maison de l’Entreprise au Plateau. L’objectif, était de former une union des mutualités sociales, faitière du mouvement mutualiste dans le but de préparer l’avènement de la Couverture maladie universelle (CMU).
M. Soro Mamadou, président de l’UAM-AFRO, lors de son allocution a salué la mobilisation exceptionnelle de 44 mutuelles sociales qui ont intégré l’importance des travaux du jour. Une mobilisation qui souligne à l’unisson leur adhésion à la CMU. Pour Soro Mamadou, il s’agit à travers la rencontre de ce jour d’adopter un certain nombre de principes. D’abord de s’unir pour mieux servir l’ambition des mutuelles d’apporter une meilleure couverture santé aux populations. « L’ambition des mutuelles, c’est d’aider à élever l’espérance de vie des populations qui est de 57 ans à 70 ans voir 75 ans. Les mutuelles parce qu’elles sont les plus proches des populations veulent assurer la couverture maladie de celles-ci à hauteur d’au moins 45% à des coûts moindre mais de qualité », a-t-il précisé. Il s’agit aussi de s’unir pour être plus fort dans le cadre de la restructuration profonde dans le contexte de la CMU. « S’unir pour être un interlocuteur crédible des pouvoirs publics, mais surtout de porter efficacement les programmes de santé de l’Etat notamment la CMU », a indiqué Soro Mamadou. Une union qui doit permettre de renforcer les compétences des mutuelles pour leur permettre de disposer d’outils de qualité. « Pour cela, nous avons des partenaires pour nous appuyer tel que le PASS », s’est-il satisfait. Pour finir, cette union devra permettre aux mutuelles sociales de disposer d’une voie crédible pour participer à l’élaboration et à l’exécution des politiques de protection sociale des populations. Ainsi, depuis le 12 mars 2015, une faitière pour le moment informelle a été mise sur pied par les mutuelles sociales. En attendant la création par l’Etat, comme il est recommandé par les nouvelles lois de l’UEMOA sur les mutualités, d’une structure qui doit enregistrer toutes les mutuelles. Lors de cette rencontre, 10 axes de travail ont été dégagés. Ils seront peaufinés, lors d’un atelier à venir qui va dégager la matrice de cette union. L’objectif final, est que cette faitière soit pleinement opérationnelle dans un an, c’est-à-dire lors du premier semestre de l’année 2016.
Olivier Guédé
M. Soro Mamadou, président de l’UAM-AFRO, lors de son allocution a salué la mobilisation exceptionnelle de 44 mutuelles sociales qui ont intégré l’importance des travaux du jour. Une mobilisation qui souligne à l’unisson leur adhésion à la CMU. Pour Soro Mamadou, il s’agit à travers la rencontre de ce jour d’adopter un certain nombre de principes. D’abord de s’unir pour mieux servir l’ambition des mutuelles d’apporter une meilleure couverture santé aux populations. « L’ambition des mutuelles, c’est d’aider à élever l’espérance de vie des populations qui est de 57 ans à 70 ans voir 75 ans. Les mutuelles parce qu’elles sont les plus proches des populations veulent assurer la couverture maladie de celles-ci à hauteur d’au moins 45% à des coûts moindre mais de qualité », a-t-il précisé. Il s’agit aussi de s’unir pour être plus fort dans le cadre de la restructuration profonde dans le contexte de la CMU. « S’unir pour être un interlocuteur crédible des pouvoirs publics, mais surtout de porter efficacement les programmes de santé de l’Etat notamment la CMU », a indiqué Soro Mamadou. Une union qui doit permettre de renforcer les compétences des mutuelles pour leur permettre de disposer d’outils de qualité. « Pour cela, nous avons des partenaires pour nous appuyer tel que le PASS », s’est-il satisfait. Pour finir, cette union devra permettre aux mutuelles sociales de disposer d’une voie crédible pour participer à l’élaboration et à l’exécution des politiques de protection sociale des populations. Ainsi, depuis le 12 mars 2015, une faitière pour le moment informelle a été mise sur pied par les mutuelles sociales. En attendant la création par l’Etat, comme il est recommandé par les nouvelles lois de l’UEMOA sur les mutualités, d’une structure qui doit enregistrer toutes les mutuelles. Lors de cette rencontre, 10 axes de travail ont été dégagés. Ils seront peaufinés, lors d’un atelier à venir qui va dégager la matrice de cette union. L’objectif final, est que cette faitière soit pleinement opérationnelle dans un an, c’est-à-dire lors du premier semestre de l’année 2016.
Olivier Guédé