Abidjan - Le secrétaire d'Etat américain John Kerry a atterri vendredi à Charm el-Cheikh en Egypte où il doit assister à une conférence économique de soutien à ce pays et s'entretenir avec le président palestinien Mahmoud Abbas et le roi Abdallah de Jordanie.
M. Kerry doit en outre évoquer avec le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi notamment la lutte contre le groupe Etat islamique (EI) et sa progression en Libye, rapporte la presse internationale.
Le président égyptien est l'un des principaux chefs d'Etat de la région qui réclame la création d'une force arabe commune pour combattre les djihadiste. Avec M. Abbas et le roi Abdallah, le chef de la diplomatie américaine doit notamment s'entretenir de la crise financière de l'Autorité palestinienne.
Il assistera, dans la station balnéaire de Charm el-Cheikh, dans le Sinaï, à une conférence économique internationale organisée par Le Caire pour attirer les capitaux et les investissements étrangers après plus de trois ans de chaos économique depuis la révolte populaire qui a chassé Hosni Moubarak du pouvoir.
Après les trois jours de conférence, le chef de la diplomatie américaine doit s'envoler pour la Suisse, pour la dernière ligne droite des négociations sur le nucléaire iranien.
(AIP)
tad/ask
M. Kerry doit en outre évoquer avec le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi notamment la lutte contre le groupe Etat islamique (EI) et sa progression en Libye, rapporte la presse internationale.
Le président égyptien est l'un des principaux chefs d'Etat de la région qui réclame la création d'une force arabe commune pour combattre les djihadiste. Avec M. Abbas et le roi Abdallah, le chef de la diplomatie américaine doit notamment s'entretenir de la crise financière de l'Autorité palestinienne.
Il assistera, dans la station balnéaire de Charm el-Cheikh, dans le Sinaï, à une conférence économique internationale organisée par Le Caire pour attirer les capitaux et les investissements étrangers après plus de trois ans de chaos économique depuis la révolte populaire qui a chassé Hosni Moubarak du pouvoir.
Après les trois jours de conférence, le chef de la diplomatie américaine doit s'envoler pour la Suisse, pour la dernière ligne droite des négociations sur le nucléaire iranien.
(AIP)
tad/ask