Gagnoa - La marraine de la célébration à Gagnoa de la Journée internationale de la femme (JIF), Mme Zégoua Kouao Ama Michelle exhorte les femmes de cette localité à croire en ce qu’elles font comme activités génératrices de revenus.
Mme Zégoua, directrice générale d’une compagnie de transport, a encouragé les femmes à se faire confiance et à avancer, se référant à son propre cas de courage à toutes épreuves et d’abnégation au travail jusqu’au bout.
"Je prends mon exemple palpable, lors des derniers événements, j’ai vu partir en fumée 13 cars incendiés, tout une gare ravagée. Je paye et je continue de payer des dettes, mais cela ne m’a pas arrêtée, je dois me battre jusqu’au bout’’, a-t-elle relevé, soulignant, "et à travers moi, c’est vous les femmes, mettons-nous au travail, continuez d’être des femmes battantes".
Cette année, la JIF a mis l’accent sur la déclaration et le programme d’action de Beijing, une feuille de route historique signée par 189 gouvernements, il y a 20 ans pour la réalisation des droits des femmes.
Bien que des progrès considérables aient été accomplis depuis, beaucoup de lacunes subsistent. Dans le cadre de cette célébration, il a été relevé le besoin pour les femmes, d’avoir conscience des défis qui restent à affronter et de porter une plus grande attention à leurs droits et à l’égalité entre les sexes, afin que tous soient mobilisés et apportent leur contribution.
Pour la marraine de la JIF, les femmes de Gagnoa ne doivent pas se laisser faire, elles doivent prendre toute leur place.
"Il y a aujourd’hui la place pour tout le monde. Ne regardez pas le fait qu’on soit universitaire ou pas, mais sachez que tout doit se faire avec passion, avec amour, même si on vend de l’aloco on doit aimer cela, parce que c’est ce qui fait de nous ce que nous sommes; c’est ce qui donne à manger, c’est ce ce qui nourrit nos maris, nos enfants à la maison’’, a-t-elle dit, exhortant, "femmes, ne vous sous-estimez pas. Dieu nous a tout donné, tout.
Le comportement de tous les jours doit calquer avec ce que la société nous demande, c’est tout.’’
Pour elle, il faut que ses sœurs de Gagnoa, ville dont elle est native, sachent "que rien n’est facile (...), mettons-nous au travail, mais surtout soyons les ambassadrices de la paix, de la cohésion sociale, quand tout va bien dans un pays, le business marche.’’
(AIP)
ja/ask
Mme Zégoua, directrice générale d’une compagnie de transport, a encouragé les femmes à se faire confiance et à avancer, se référant à son propre cas de courage à toutes épreuves et d’abnégation au travail jusqu’au bout.
"Je prends mon exemple palpable, lors des derniers événements, j’ai vu partir en fumée 13 cars incendiés, tout une gare ravagée. Je paye et je continue de payer des dettes, mais cela ne m’a pas arrêtée, je dois me battre jusqu’au bout’’, a-t-elle relevé, soulignant, "et à travers moi, c’est vous les femmes, mettons-nous au travail, continuez d’être des femmes battantes".
Cette année, la JIF a mis l’accent sur la déclaration et le programme d’action de Beijing, une feuille de route historique signée par 189 gouvernements, il y a 20 ans pour la réalisation des droits des femmes.
Bien que des progrès considérables aient été accomplis depuis, beaucoup de lacunes subsistent. Dans le cadre de cette célébration, il a été relevé le besoin pour les femmes, d’avoir conscience des défis qui restent à affronter et de porter une plus grande attention à leurs droits et à l’égalité entre les sexes, afin que tous soient mobilisés et apportent leur contribution.
Pour la marraine de la JIF, les femmes de Gagnoa ne doivent pas se laisser faire, elles doivent prendre toute leur place.
"Il y a aujourd’hui la place pour tout le monde. Ne regardez pas le fait qu’on soit universitaire ou pas, mais sachez que tout doit se faire avec passion, avec amour, même si on vend de l’aloco on doit aimer cela, parce que c’est ce qui fait de nous ce que nous sommes; c’est ce qui donne à manger, c’est ce ce qui nourrit nos maris, nos enfants à la maison’’, a-t-elle dit, exhortant, "femmes, ne vous sous-estimez pas. Dieu nous a tout donné, tout.
Le comportement de tous les jours doit calquer avec ce que la société nous demande, c’est tout.’’
Pour elle, il faut que ses sœurs de Gagnoa, ville dont elle est native, sachent "que rien n’est facile (...), mettons-nous au travail, mais surtout soyons les ambassadrices de la paix, de la cohésion sociale, quand tout va bien dans un pays, le business marche.’’
(AIP)
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