Le Gouvernement a promis « nettoyer » « la maison-ivoire » pour permettre enfin, le changement que les travailleurs dans leur ensemble et toute la population ivoirienne attendent depuis longtemps.
Mais hélas encore. A peine passé le temps des campagnes électorales, que le pouvoir actuel a oublié les promesses.
L’injustice faite aux Enseignants, relative au déblocage de leur salaire perdure pendant que se dégrade au fur et à mesure celle de l’ensemble des travailleurs de Côte d’Ivoire. Leurs appels et revendications demeurent désespérément vains. Les fonctionnaires et travailleurs assistent avec amertume à la réduction constante de leur pouvoir d’achat.
Après les Enseignants du cycle supérieur, qui donnent un temps au Gouvernement pour la satisfaction de leurs revendications, ce sont les Enseignants du secondaire qui ont pris le relais, paralysant la quasi-totalité des écoles. Contre toute attente, le Gouvernement ne réagit guère et cherche plutôt à se faire peur.
Réponse : de menace, les syndicats sont passés à la phase active, de celle de la grève.
Le Parti Ivoirien des Travailleurs exprime ici, son soutien et sa solidarité aux travailleurs de tous les secteurs professionnels et de tous les milieux ainsi qu’à leurs syndicats respectifs qui mènent, bien souvent, une lutte héroïque pour l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail.
Pour le PIT, la résolution progressive des problèmes doit de notre point de vu, faire partie du mécanisme de la bonne gouvernance et de la démocratie, gage de tout développement ; faute de quoi leur suspension pourrait entrainer leur accumulation et plus tard, l’éclatement d’une crise sociale porteuse de tous les dangers.
La PIT invite instamment le gouvernement, à se pencher sur les problèmes et les revendications des travailleurs pour y apporter des solutions et à tenir ses engagements vis-à-vis des syndicats afin de sauvegarder la paix sociale.
Fait à Abidjan, le 12 mars 2015
Pour le Parti Ivoirien des Travailleurs
Le Secrétaire
Général Adjoint
Porte parole du parti
Barome Aristide
Mais hélas encore. A peine passé le temps des campagnes électorales, que le pouvoir actuel a oublié les promesses.
L’injustice faite aux Enseignants, relative au déblocage de leur salaire perdure pendant que se dégrade au fur et à mesure celle de l’ensemble des travailleurs de Côte d’Ivoire. Leurs appels et revendications demeurent désespérément vains. Les fonctionnaires et travailleurs assistent avec amertume à la réduction constante de leur pouvoir d’achat.
Après les Enseignants du cycle supérieur, qui donnent un temps au Gouvernement pour la satisfaction de leurs revendications, ce sont les Enseignants du secondaire qui ont pris le relais, paralysant la quasi-totalité des écoles. Contre toute attente, le Gouvernement ne réagit guère et cherche plutôt à se faire peur.
Réponse : de menace, les syndicats sont passés à la phase active, de celle de la grève.
Le Parti Ivoirien des Travailleurs exprime ici, son soutien et sa solidarité aux travailleurs de tous les secteurs professionnels et de tous les milieux ainsi qu’à leurs syndicats respectifs qui mènent, bien souvent, une lutte héroïque pour l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail.
Pour le PIT, la résolution progressive des problèmes doit de notre point de vu, faire partie du mécanisme de la bonne gouvernance et de la démocratie, gage de tout développement ; faute de quoi leur suspension pourrait entrainer leur accumulation et plus tard, l’éclatement d’une crise sociale porteuse de tous les dangers.
La PIT invite instamment le gouvernement, à se pencher sur les problèmes et les revendications des travailleurs pour y apporter des solutions et à tenir ses engagements vis-à-vis des syndicats afin de sauvegarder la paix sociale.
Fait à Abidjan, le 12 mars 2015
Pour le Parti Ivoirien des Travailleurs
Le Secrétaire
Général Adjoint
Porte parole du parti
Barome Aristide