Abidjan - La ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto à participé à la 59ème session de la Commission de la condition de la femme au siège des Nations Unies à New York au cours de laquelle elle a présenté le bilan, les défis et les perspectives de la Côte d’Ivoire dans la mise en œuvre de la Plateforme d’action de Beijing, 20 ans après la conférence mondiale des femmes tenue en Chine (1995-2015).
Mme Ouloto a pris part à un panel de haut niveau sur la mise en œuvre de la plateforme de Beijing en Côte d’Ivoire sur le thème "Beijing + 20 : bilan, défis et perspectives pour une Côte d’Ivoire émergente".
Cette rencontre a donné lieu à six communications qui ont permis aux panélistes de partager les acquis et de s’inspirer des expériences des autres pays pour relever les défis de l’émergence incluant une participation plus égalitaire des hommes et des femmes.
Le premier sous-thème, portant sur la présentation du rapport de Beijing+20 a été présenté par Mme Ouloto.
Le second sous-thème a présenté les avancées enregistrées par la Côte d’Ivoire en matière d’éducation, avec un accent sur les problèmes tels l’accès inégal à l’éducation et à la formation ou les disparités et insuffisances qui perdurent dans ce domaine. Il a été animé par la ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, Kandia Camara.
Le troisième a été présenté par la ministre de la Communication, Affoussiata Bamba Lamine, qui a traité de la problématique "femme et médias" en Côte d’Ivoire, en particulier sur les avancées et défis enregistrés en matière de lutte contre les stéréotypes sexistes dans ce domaine.
La quatrième communication qui a été assurée par la première vice-présidente de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Sara Sako Fadiga, a montré les progrès réalisés au niveau législatif, les activités des femmes parlementaires et les défis à relever.
Les cinquième et sixième allocutions ont été l’occasion pour des responsables de la société civile, notamment Mmes Salimata Porquet et Aimée Zébeyoux , respectivement présidentes du REPSFECO régional et de l’AFJCI, d’exposer des avancées enregistrées en matière de justice, de leadership et de participation des femmes en Côte d’Ivoire pendant les 20 dernières années.
Plusieurs personnalités de la sous région ouest-africaine ont pris part à cette rencontre, notamment la Commissaire CEDEAO en charge du Genre et des Affaires sociales, Dr Dia Fatimata Sow , le représentant permanent de la CEDEAO auprès des Nations Unies, Dr Koné Léon et des personnalités et experts ,membres des délégations venues d’ autres pays.
Après sa présentation au siège de l'ONU, Anne Ouloto a pris part à différentes activités dont une émission radio au cours de laquelle elle a échangé avec la diaspora ivoirienne aux Etats-Unis autour du thème "La femme ivoirienne sous le Président Ouattara: quel bilan".
L'émissaire du gouvernement ivoirien a relevé lors de ces échanges que le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, a réussi une "véritable révolution" en reconnaissant à la femme sa pleine capacité dans la consolidation de la famille, l'éducation des enfants et la préparation de leur avenir, relevant le cadre juridique national de promotion des droits des femmes qui a connu des reformes majeures, notamment au niveau de la loi sur le mariage.
Elle a participé à une session interactive de la CEDEAO sur le genre dans la salle de conférence de la Mission permanente d’observation de l’Union africaine auprès des Nations Unies, autour du thème "Genre et Ebola, les impacts de la maladie sur les femmes en Afrique de l’Ouest".
L’objectif principal de la session interactive des ministres en charge des questions de genre et de la femme de la CEDEAO était de mesurer l’impact négatif de la maladie à virus Ebola sur le plan socio-économique sur les femmes en Afrique de l’Ouest et de proposer un programme régional d’appui de réinsertion des victimes dans les pays affectés.
La ministre a saisi l’occasion pour réexpliquer la nécessité pour la Côte d’Ivoire de fermer ses frontières terrestres avec certains pays frères touchés par l’épidémie d’Ebola, stratégie qui a permis de mieux organiser la riposte et d’éviter d’enregistrer un cas avéré d’Ebola dans le pays.
Elle a également recommandé à la CEDEAO, la mise en place d’un programme conjoint pour maintenir la vigilance face à la maladie à virus Ebola et surtout de mieux faire face à son impact socioéconomique sur les femmes et les enfants.
Mme Ouloto a Egalement rencontré l’Association des femmes ivoiriennes vivant à New York, en présence de l’ambassadeur intérimaire de la Côte d’Ivoire auprès des Nations Unies, du Consul général et des membres de la délégation ivoirienne, à la salle des conférences de la Mission permanente.
Cette rencontre a été l’occasion pour la ministre de lancer des messages de réconciliation à leur endroit et de les exhorter à l’union, à la discipline et au travail.
Venues en grand nombre, les femmes ivoiriennes de New York ont présenté leurs différents projets à leur ministre de tutelle, recueilli son avis sur leurs capacités à s’organiser, et réaffirmé leur engagement à s’unir autour d’un objectif commun en faisant en sorte que leur association puisse épouser les idéaux de paix, de cohésion sociale, de réconciliation et d'émergence.
amak/akn/ask
Mme Ouloto a pris part à un panel de haut niveau sur la mise en œuvre de la plateforme de Beijing en Côte d’Ivoire sur le thème "Beijing + 20 : bilan, défis et perspectives pour une Côte d’Ivoire émergente".
Cette rencontre a donné lieu à six communications qui ont permis aux panélistes de partager les acquis et de s’inspirer des expériences des autres pays pour relever les défis de l’émergence incluant une participation plus égalitaire des hommes et des femmes.
Le premier sous-thème, portant sur la présentation du rapport de Beijing+20 a été présenté par Mme Ouloto.
Le second sous-thème a présenté les avancées enregistrées par la Côte d’Ivoire en matière d’éducation, avec un accent sur les problèmes tels l’accès inégal à l’éducation et à la formation ou les disparités et insuffisances qui perdurent dans ce domaine. Il a été animé par la ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, Kandia Camara.
Le troisième a été présenté par la ministre de la Communication, Affoussiata Bamba Lamine, qui a traité de la problématique "femme et médias" en Côte d’Ivoire, en particulier sur les avancées et défis enregistrés en matière de lutte contre les stéréotypes sexistes dans ce domaine.
La quatrième communication qui a été assurée par la première vice-présidente de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Sara Sako Fadiga, a montré les progrès réalisés au niveau législatif, les activités des femmes parlementaires et les défis à relever.
Les cinquième et sixième allocutions ont été l’occasion pour des responsables de la société civile, notamment Mmes Salimata Porquet et Aimée Zébeyoux , respectivement présidentes du REPSFECO régional et de l’AFJCI, d’exposer des avancées enregistrées en matière de justice, de leadership et de participation des femmes en Côte d’Ivoire pendant les 20 dernières années.
Plusieurs personnalités de la sous région ouest-africaine ont pris part à cette rencontre, notamment la Commissaire CEDEAO en charge du Genre et des Affaires sociales, Dr Dia Fatimata Sow , le représentant permanent de la CEDEAO auprès des Nations Unies, Dr Koné Léon et des personnalités et experts ,membres des délégations venues d’ autres pays.
Après sa présentation au siège de l'ONU, Anne Ouloto a pris part à différentes activités dont une émission radio au cours de laquelle elle a échangé avec la diaspora ivoirienne aux Etats-Unis autour du thème "La femme ivoirienne sous le Président Ouattara: quel bilan".
L'émissaire du gouvernement ivoirien a relevé lors de ces échanges que le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, a réussi une "véritable révolution" en reconnaissant à la femme sa pleine capacité dans la consolidation de la famille, l'éducation des enfants et la préparation de leur avenir, relevant le cadre juridique national de promotion des droits des femmes qui a connu des reformes majeures, notamment au niveau de la loi sur le mariage.
Elle a participé à une session interactive de la CEDEAO sur le genre dans la salle de conférence de la Mission permanente d’observation de l’Union africaine auprès des Nations Unies, autour du thème "Genre et Ebola, les impacts de la maladie sur les femmes en Afrique de l’Ouest".
L’objectif principal de la session interactive des ministres en charge des questions de genre et de la femme de la CEDEAO était de mesurer l’impact négatif de la maladie à virus Ebola sur le plan socio-économique sur les femmes en Afrique de l’Ouest et de proposer un programme régional d’appui de réinsertion des victimes dans les pays affectés.
La ministre a saisi l’occasion pour réexpliquer la nécessité pour la Côte d’Ivoire de fermer ses frontières terrestres avec certains pays frères touchés par l’épidémie d’Ebola, stratégie qui a permis de mieux organiser la riposte et d’éviter d’enregistrer un cas avéré d’Ebola dans le pays.
Elle a également recommandé à la CEDEAO, la mise en place d’un programme conjoint pour maintenir la vigilance face à la maladie à virus Ebola et surtout de mieux faire face à son impact socioéconomique sur les femmes et les enfants.
Mme Ouloto a Egalement rencontré l’Association des femmes ivoiriennes vivant à New York, en présence de l’ambassadeur intérimaire de la Côte d’Ivoire auprès des Nations Unies, du Consul général et des membres de la délégation ivoirienne, à la salle des conférences de la Mission permanente.
Cette rencontre a été l’occasion pour la ministre de lancer des messages de réconciliation à leur endroit et de les exhorter à l’union, à la discipline et au travail.
Venues en grand nombre, les femmes ivoiriennes de New York ont présenté leurs différents projets à leur ministre de tutelle, recueilli son avis sur leurs capacités à s’organiser, et réaffirmé leur engagement à s’unir autour d’un objectif commun en faisant en sorte que leur association puisse épouser les idéaux de paix, de cohésion sociale, de réconciliation et d'émergence.
amak/akn/ask