Un pas important de l’organisation des 8es jeux de la Francophonie, a été franchi, hier. Avec l’inauguration dans la commune de Cocody, du siège du comité national desdits jeux prévus en 2017 à Abidjan. Dépêché à cette cérémonie par Jean Mickael, patronne de l’Oif, Mahamane Sériba s’est « réjoui de l’avancement des préparatifs des jeux qui montent en puissance » à moins de 855 jours et espère que Abidjan fasse « mieux que Nice ». Nice 2013 (France), rappelons-le, avait accueilli 54 délégations participantes avec 3000 jeunes sportifs, artistes et accompagnateurs. Selon le directeur général du comité national de ces jeux qui vont se dérouler exactement du 21 juillet 2017 au 31 du même mois, 80 pays et 4000 jeunes sont attendus. « C’est un événement qui allie Sport et Culture » a expliqué Epiphane Zoro qui a présenté le logo des jeux. Ce dernier n’est pas aussi resté muet sur les objectifs du rendez-vous d’Abidjan. Ces objectifs ont notamment pour noms, la promotion de la paix, de la langue française et du développement à travers les rencontres directes entre les jeunes. Qui auront à s’affronter au niveau des concours sportifs, culturels et autres activités de développement.
C’est pourquoi, est convaincu Robert Beugré Mambé, gouverneur du District autonome d’Abidjan, et 3e vice-président du comité de pilotage, que la mobilisation de ces intelligences va aboutir à « une fête populaire». Quand Dosso Moussa, ministre de l’Emploi, représentant le premier ministre et qui avait à ses côtés le ministre de la promotion de la jeunesse, du sport et des loisirs, il est persuadé que «c’est un défi de la réconciliation ».
Félix Téha Dessrait
C’est pourquoi, est convaincu Robert Beugré Mambé, gouverneur du District autonome d’Abidjan, et 3e vice-président du comité de pilotage, que la mobilisation de ces intelligences va aboutir à « une fête populaire». Quand Dosso Moussa, ministre de l’Emploi, représentant le premier ministre et qui avait à ses côtés le ministre de la promotion de la jeunesse, du sport et des loisirs, il est persuadé que «c’est un défi de la réconciliation ».
Félix Téha Dessrait