Daloa - L’action de sensibilisation de l’Organisation chrétienne des jeunes unis pour le Droit en Côte d’Ivoire (OCJUD-CI) contre le VIH-Sida a permis à 196 personnes dont 118 femmes de se faire dépister sur la période de janvier à mars 2015.
Selon le président du Conseil d’administration de l’ONG, Bado Edouard, qui a communiqué ces chiffres vendredi, deux femmes trouvées séropositives, à l’issue des tests de dépistage, ont été référées au centre de santé du 2ème bataillon de Daloa.
Au-delà des activités de sensibilisation de masse qu’elle a menées dans les villes de Daloa et de Vavoua, dans le cadre de sa lutte contre le VIH-Sida et les violences basées sur le genre, l’ONG OCJUD-CI a formé des agents de santé communautaire et sensibilisé sur le planning familial dans les villages et sur les grossesses en milieu scolaire dans les écoles secondaires du Haut-Sassandra, dans le cadre du maintien de la jeune fille à l’école.
Pour les mois à venir, l’ONG se propose également de récompenser les meilleures élèves filles, toujours dans le contexte de la promotion de la scolarisation des filles.
Créée en 2005 à partir du constat qu’il fallait amener les jeunes souffrant des effets néfastes de la crise ivoirienne à se prendre en charge, mais aussi à porter secours à autrui, l’ONG a finalement fait le choix, selon son président, de lutter contre tout ce qui est violation des droits humains.
Aip
Yy/kp
Selon le président du Conseil d’administration de l’ONG, Bado Edouard, qui a communiqué ces chiffres vendredi, deux femmes trouvées séropositives, à l’issue des tests de dépistage, ont été référées au centre de santé du 2ème bataillon de Daloa.
Au-delà des activités de sensibilisation de masse qu’elle a menées dans les villes de Daloa et de Vavoua, dans le cadre de sa lutte contre le VIH-Sida et les violences basées sur le genre, l’ONG OCJUD-CI a formé des agents de santé communautaire et sensibilisé sur le planning familial dans les villages et sur les grossesses en milieu scolaire dans les écoles secondaires du Haut-Sassandra, dans le cadre du maintien de la jeune fille à l’école.
Pour les mois à venir, l’ONG se propose également de récompenser les meilleures élèves filles, toujours dans le contexte de la promotion de la scolarisation des filles.
Créée en 2005 à partir du constat qu’il fallait amener les jeunes souffrant des effets néfastes de la crise ivoirienne à se prendre en charge, mais aussi à porter secours à autrui, l’ONG a finalement fait le choix, selon son président, de lutter contre tout ce qui est violation des droits humains.
Aip
Yy/kp