La Côte d’Ivoire prépare activement sa participation à la 21ème Conférence des Parties à la Convention Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, qui se tiendra du 30 novembre au 11 décembre 2015 à Paris en France.
A cet effet, le ministère de l’Environnement, de la Salubrité urbaine et du Développement durable (Minesudd), a organisé le vendredi 20 mars 2015, en collaboration avec le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM), une rencontre d’information et de sensibilisation de la communauté scientifique nationale sur l’élaboration des Contributions Intentionnelles Déterminées au Niveau National pour l’accord post 2020 sur le Climat. Ces contributions seront présentées lors de cette 21ème Conférence des Parties, à Paris. L’usage incontrôlé des énergies fossiles a entraîné la hausse de la concentration des gaz à effet de serre dans l’atmosphère, responsable du réchauffement climatique. Pour réduire ce réchauffement, c'est-à-dire à -2° par rapport au niveau de 1990, les émissions totales cumulées ne devront pas dépasser une fourchette de 1000 à 1500 gigatonnes de carbone d’ici 2100. L’enjeu est important et il a bien été traduit par le Directeur de cabinet adjoint du Minesudd, professeur Alexandre N’Guessan, représentant le ministre Rémi Allah-Kouadio à ses assises. Mais pour M. Alexandre N’Guessan, l’espoir est permis. Le représentant du ministre a, en outre, expliqué que cet engagement à l’échelle mondiale favorisera la croissance économique durable ainsi que les co-bénéfices dans les domaines tels que la qualité de l’air et la santé humaine, la sécurité énergétique, les impacts sur les écosystèmes et la disponibilité des ressources. Pour atteindre ces objectifs la décision 1 de la 19ème Conférence des Parties a invité toutes les parties à entamer les préparatifs de leurs Contributions Déterminées au niveau National ou INDC (en anglais) et à les présenter lors de cette 21ème Conférence. Ces contributions sont donc très importantes pour les pays en développement comme la Côte d’Ivoire. Elles devront permettre de fournir des données d’activités requises et des recommandations de la communauté scientifique nationale sur la question des changements climatiques, à présenter à Paris.
Olivier Guédé
A cet effet, le ministère de l’Environnement, de la Salubrité urbaine et du Développement durable (Minesudd), a organisé le vendredi 20 mars 2015, en collaboration avec le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM), une rencontre d’information et de sensibilisation de la communauté scientifique nationale sur l’élaboration des Contributions Intentionnelles Déterminées au Niveau National pour l’accord post 2020 sur le Climat. Ces contributions seront présentées lors de cette 21ème Conférence des Parties, à Paris. L’usage incontrôlé des énergies fossiles a entraîné la hausse de la concentration des gaz à effet de serre dans l’atmosphère, responsable du réchauffement climatique. Pour réduire ce réchauffement, c'est-à-dire à -2° par rapport au niveau de 1990, les émissions totales cumulées ne devront pas dépasser une fourchette de 1000 à 1500 gigatonnes de carbone d’ici 2100. L’enjeu est important et il a bien été traduit par le Directeur de cabinet adjoint du Minesudd, professeur Alexandre N’Guessan, représentant le ministre Rémi Allah-Kouadio à ses assises. Mais pour M. Alexandre N’Guessan, l’espoir est permis. Le représentant du ministre a, en outre, expliqué que cet engagement à l’échelle mondiale favorisera la croissance économique durable ainsi que les co-bénéfices dans les domaines tels que la qualité de l’air et la santé humaine, la sécurité énergétique, les impacts sur les écosystèmes et la disponibilité des ressources. Pour atteindre ces objectifs la décision 1 de la 19ème Conférence des Parties a invité toutes les parties à entamer les préparatifs de leurs Contributions Déterminées au niveau National ou INDC (en anglais) et à les présenter lors de cette 21ème Conférence. Ces contributions sont donc très importantes pour les pays en développement comme la Côte d’Ivoire. Elles devront permettre de fournir des données d’activités requises et des recommandations de la communauté scientifique nationale sur la question des changements climatiques, à présenter à Paris.
Olivier Guédé
