Dakar - Karim Wade, fils de l’ex-président sénégalais Abdoulaye Wade, dont il a été ministre, garde ses droits civiques malgré sa condamnation lundi à six ans de prison ferme pour "enrichissement illicite", a affirmé le ministre sénégalais de la Justice Sidiki Kaba.
La Cour spéciale qui a jugé Karim Wade, désigné samedi candidat du principal parti d’opposition à la prochaine présidentielle, a "écarté l’interdiction de l’exercice des droits civiques, civils et de famille prévus par l’article 34 du Code pénal", a déclaré à la presse M. Kaba, réfutant l’existence de tout "projet politique pour couler un adversaire".
mrb/sst/jpc
La Cour spéciale qui a jugé Karim Wade, désigné samedi candidat du principal parti d’opposition à la prochaine présidentielle, a "écarté l’interdiction de l’exercice des droits civiques, civils et de famille prévus par l’article 34 du Code pénal", a déclaré à la presse M. Kaba, réfutant l’existence de tout "projet politique pour couler un adversaire".
mrb/sst/jpc