Dabakala - La ville de Dabakala connait depuis la mi-mars une pénurie de ciment qui entraîne la flambée des prix de ce produit, a constaté l’AIP.
Le ciment est devenu rare à Dabakala. Tous les magasins de ciment sont vides. Les quelques camions qui pénètrent dans la ville avec des sacs de ciment sont pris d’assaut par les populations. Cette situation a entrainé une augmentation du prix du sac de ciment. Vendu avant à 6 000 F CFA le sac CPA 42, il est aujourd’hui à 6500 ou même à 7000 F CFA.
Pour s’en procurer, il faut verser l’argent à l’avance et attendre parfois une semaine. Beaucoup de chantiers sont bloqués faute de ciment.
Selon les fournisseurs interrogés, l’augmentation du prix est due aux difficultés rencontrées pour se ravitailler à Bouaké ou à Abidjan." Les grossistes qui nous livrent le ciment disent que le ciment est rare à Abidjan. En outre, il y a le manque de camions pour transporter ce ciment.", explique l’un des vendeurs de ciment installés en bordure du marché, Daouda Karamoko.
Tous les camions sont utilisés pour le moment pour transporter les noix de cajou vers le port d’Abidjan, a-t-il poursuivi, ajoutant que ce sont tous ces éléments réunis qui ont entraîné l’augmentation du prix.
sy/fmo/akn/kam
Le ciment est devenu rare à Dabakala. Tous les magasins de ciment sont vides. Les quelques camions qui pénètrent dans la ville avec des sacs de ciment sont pris d’assaut par les populations. Cette situation a entrainé une augmentation du prix du sac de ciment. Vendu avant à 6 000 F CFA le sac CPA 42, il est aujourd’hui à 6500 ou même à 7000 F CFA.
Pour s’en procurer, il faut verser l’argent à l’avance et attendre parfois une semaine. Beaucoup de chantiers sont bloqués faute de ciment.
Selon les fournisseurs interrogés, l’augmentation du prix est due aux difficultés rencontrées pour se ravitailler à Bouaké ou à Abidjan." Les grossistes qui nous livrent le ciment disent que le ciment est rare à Abidjan. En outre, il y a le manque de camions pour transporter ce ciment.", explique l’un des vendeurs de ciment installés en bordure du marché, Daouda Karamoko.
Tous les camions sont utilisés pour le moment pour transporter les noix de cajou vers le port d’Abidjan, a-t-il poursuivi, ajoutant que ce sont tous ces éléments réunis qui ont entraîné l’augmentation du prix.
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