Le Président de la République, SEM Alassane OUATTARA, a échangé ce jeudi 02 avril 2015, au Palais de la Présidence de la République, avec une délégation du Fonds Monétaire International (FMI) conduite par M. Michel LAZARE, Sous- Directeur au Département Afrique de cette Institution.
Au terme de l’entretien, le Chef de la délégation a indiqué avoir eu un échange ‘’extrêmement fructueux’’ avec le Président de la République, au cours duquel ils ont fait le ‘’bilan des travaux de cette mission du FMI qui est en Côte d’Ivoire au titre de la 2ème revue du Programme économique et financier soutenu par une facilité élargie de crédit’’.
Pour cette revue, le constat, selon M. Michel LAZARE, est que la situation de l’économie ivoirienne reste ‘’très bonne’’, notamment, en ce que la croissance est restée ‘’très forte’’ en 2014; laquelle croissance commence à avoir des ‘’effets positifs’’ au niveau des populations’’. Pour étayer ses propos, le Sous- Directeur au Département Afrique du FMI a cité deux exemples : D’abord la ‘’forte croissance’’ observée au niveau du secteur agricole ces dernières années et particulièrement en 2014, qui a permis de distribuer des ‘’revenus importants’’ aux Agriculteurs ; et également un certain nombre ‘’d’investissements publics’’
qui commencent à améliorer les services à la population ; notamment en matière de
transport, d’éducation, de santé, etc.
Dans cet ordre d’idée, M. Michel LAZARE a souligné avoir rassuré le Chef de l’Etat sur les ‘’bonnes perspectives de croissance’’ dans les années à venir. Cependant, pour le Fonctionnaire international, pour que cela soit possible, il faudrait qu’un certain nombre de réformes en cours ou envisagées, soient effectivement opérées.
A cet égard, il a affirmé avoir constaté avec ‘’plaisir’’ les ‘’progrès’’ accomplis en matière d’amélioration du ‘’climat des affaires ; de la mise en place de structures modernes d’administration des impôts ; d’amélioration de la gestion de la dette ; de réforme du système financier ou encore d’amélioration de l’efficacité des procédures de dépenses’’.
Pour le Chef de la mission du FMI, ces réformes sont ‘’importantes pour permettre un développement harmonieux du secteur privé et donc un soutien à la croissance’’.
Au terme de l’entretien, le Chef de la délégation a indiqué avoir eu un échange ‘’extrêmement fructueux’’ avec le Président de la République, au cours duquel ils ont fait le ‘’bilan des travaux de cette mission du FMI qui est en Côte d’Ivoire au titre de la 2ème revue du Programme économique et financier soutenu par une facilité élargie de crédit’’.
Pour cette revue, le constat, selon M. Michel LAZARE, est que la situation de l’économie ivoirienne reste ‘’très bonne’’, notamment, en ce que la croissance est restée ‘’très forte’’ en 2014; laquelle croissance commence à avoir des ‘’effets positifs’’ au niveau des populations’’. Pour étayer ses propos, le Sous- Directeur au Département Afrique du FMI a cité deux exemples : D’abord la ‘’forte croissance’’ observée au niveau du secteur agricole ces dernières années et particulièrement en 2014, qui a permis de distribuer des ‘’revenus importants’’ aux Agriculteurs ; et également un certain nombre ‘’d’investissements publics’’
qui commencent à améliorer les services à la population ; notamment en matière de
transport, d’éducation, de santé, etc.
Dans cet ordre d’idée, M. Michel LAZARE a souligné avoir rassuré le Chef de l’Etat sur les ‘’bonnes perspectives de croissance’’ dans les années à venir. Cependant, pour le Fonctionnaire international, pour que cela soit possible, il faudrait qu’un certain nombre de réformes en cours ou envisagées, soient effectivement opérées.
A cet égard, il a affirmé avoir constaté avec ‘’plaisir’’ les ‘’progrès’’ accomplis en matière d’amélioration du ‘’climat des affaires ; de la mise en place de structures modernes d’administration des impôts ; d’amélioration de la gestion de la dette ; de réforme du système financier ou encore d’amélioration de l’efficacité des procédures de dépenses’’.
Pour le Chef de la mission du FMI, ces réformes sont ‘’importantes pour permettre un développement harmonieux du secteur privé et donc un soutien à la croissance’’.