Le département de Minignan, une des étapes de prochaine visite d’Etat du président de la République dans le Nord-Ouest ivoirien, s’active à recevoir son illustre hôte et sonne, pour l’heure, la mobilisation conduite par les autorités préfectorales en vue d’un accueil "doublement chaleureux".
Ces autorités pour réussir le pari multiplient, depuis la confirmation de la nouvelle, les réunions avec l’ensemble des couches socio professionnelles s’étant fait comme un devoir de conférer à l’accueil au chef de l’Etat un caractère "exceptionnel", a confié à un envoyé spécial de l’AIP dépêché en mission de prospection dans la localité du 24 au 31 mars dernier, le secrétaire général 1 de la préfecture de Minignan,Tra Bi Koué Jean-Brice.
"A partir du moment où la nouvelle de la visite a été confirmée, le préfet de la région du Folon a convoqué une grande réunion avec toutes les autorités politiques, administratives, coutumières, religieuses, toutes les couches sociales pour donner l’information de façon officielle. Tous les leaders d’opinion ont été également conviés pour que l’ensemble des populations soient imprégnées de la nouvelle et se préparent à recevoir le président de la République de façon exceptionnelle", a-t-il fait savoir.
Selon l’autorité administrative, réussir le pari de la mobilisation pour Minignan apparaît d’ailleurs comme une "obligation" à double titre, a-t-il fait remarquer. Pour lui il s’agit notamment, pour la région, de manifester son attachement à l’un de ses plus illustres fils tout en lui exprimant sa soif de développement.
"Vous n’ignorez pas qu’ici c’est un peu comme chez le président de la République. Donc s’il est passé ailleurs et que les autres lui ont réservé un accueil digne de son rang nous nous devons de le faire deux fois plus et c’est à cela que nous nous attelons", a signifié l’administrateur.
"Recevoir le chef de l’Etat à Minignan pour nous, de façon exceptionnelle, ne doit pas être une option, c’est une obligation. Nous en avons vraiment besoin parce que si on veut aujourd’hui faire un classement sur les infrastructures de base est ce que nous ne sommes pas parmi les derniers ? Si tel est le cas alors il faut que l’on saisisse la perche qui nous est tendue pour nous mobiliser", a-t-il noté par ailleurs.
kg/akn/kam
Ces autorités pour réussir le pari multiplient, depuis la confirmation de la nouvelle, les réunions avec l’ensemble des couches socio professionnelles s’étant fait comme un devoir de conférer à l’accueil au chef de l’Etat un caractère "exceptionnel", a confié à un envoyé spécial de l’AIP dépêché en mission de prospection dans la localité du 24 au 31 mars dernier, le secrétaire général 1 de la préfecture de Minignan,Tra Bi Koué Jean-Brice.
"A partir du moment où la nouvelle de la visite a été confirmée, le préfet de la région du Folon a convoqué une grande réunion avec toutes les autorités politiques, administratives, coutumières, religieuses, toutes les couches sociales pour donner l’information de façon officielle. Tous les leaders d’opinion ont été également conviés pour que l’ensemble des populations soient imprégnées de la nouvelle et se préparent à recevoir le président de la République de façon exceptionnelle", a-t-il fait savoir.
Selon l’autorité administrative, réussir le pari de la mobilisation pour Minignan apparaît d’ailleurs comme une "obligation" à double titre, a-t-il fait remarquer. Pour lui il s’agit notamment, pour la région, de manifester son attachement à l’un de ses plus illustres fils tout en lui exprimant sa soif de développement.
"Vous n’ignorez pas qu’ici c’est un peu comme chez le président de la République. Donc s’il est passé ailleurs et que les autres lui ont réservé un accueil digne de son rang nous nous devons de le faire deux fois plus et c’est à cela que nous nous attelons", a signifié l’administrateur.
"Recevoir le chef de l’Etat à Minignan pour nous, de façon exceptionnelle, ne doit pas être une option, c’est une obligation. Nous en avons vraiment besoin parce que si on veut aujourd’hui faire un classement sur les infrastructures de base est ce que nous ne sommes pas parmi les derniers ? Si tel est le cas alors il faut que l’on saisisse la perche qui nous est tendue pour nous mobiliser", a-t-il noté par ailleurs.
kg/akn/kam