L’ex président ivoirien, Laurent Gbagbo, a été arrêté lundi 11 avril à l’issue d’une attaque sur sa résidence à Abidjan. Cette arrestation a marqué la fin de quatre mois de crise post-électorale en Côte d’Ivoire.
A l’occasion de la Commémoration de cette date le président du FPI ancien parti au pouvoir, AFFI NGUESSAN s’adresse aux ivoiriens.
- Camarades membres du Secrétariat Général ;
- Camarades membres du Comité Central ;
- Camarades membres du Comité de Contrôle ;
- Camarades membres de l’Organisation des Femmes du FPI (OFPI) ;
- Jeunesse du Front Populaire Ivoirien (JFPI) ;
- Camarades Secrétaires Généraux de Fédérations, de Sections et de bases ;
- Camarades Responsables et membres des structures d’activités du parti (CAE-FPI ; CAP-FPI ; le collectif des Coordinations …) ;
- Camarades militantes, camarades militants et sympathisants du FPI ;
- Honorables Chefs traditionnels, Chefs religieux et chefs de communauté ;
- Honorables invités ;
- Mesdames et Messieurs ;
- Chers frères et sœurs ;
Onze avril 2011 – 11 avril 2015. Il y a quatre ans, jour pour jour. Une coalition de forces rebelles et internationales arrêtaient le Président Laurent GBAGBO à Résidence Présidentielle de Cocody sous les bombes. Cet évènement montrait, non pas l’épilogue, mais l’ampleur de la crise ivoirienne.
Or donc l’enjeu de la guerre subie par la Côte d’Ivoire n’était ni l’élection présidentielle d’octobre – novembre 2010, ni la Paix et la sécurité en Côte d’Ivoire mais le changement du régime et l’installation d’un homme à la tête de l’Etat, par la guerre et la violence, contre les voies démocratiques. Car si la question était de savoir qui des deux candidats en lice au second tour avait remporté le scrutin, la réponse se trouvait dans les suffrages exprimés et non dans les balles et les bombes. Si l’enjeu était la paix, la sécurité et donc la stabilité, la réponse était dans le renforcement des Institutions de l’Etat, en respectant notamment l’arrêt du Conseil Constitutionnel proclamant la victoire du Président Laurent GBAGBO au lieu de fragiliser l’Etat en détruisant notamment l’armée nationale.
Que signifie donc, la commémoration du 11 avril dans ce contexte. Je trouve à cette cérémonie trois significations :
- Premièrement c’est un hommage aux victimes, à toutes les victimes ; les morts, les prisonniers, les réfugiés ; tous ceux et toutes celles dont le destin a basculé durant ces jours tristes de notre histoire ;
- Deuxièmement, nous célébrons ce jour, le combat politique du Président Laurent GBAGBO ;
- Enfin le 11 avril est pour nous, militants du Front Populaire Ivoirien, patriotes ivoiriens, démocrates d’ici et d’ailleurs, amis de la Justice de la Côte d’Ivoire et du Président Laurent GABGBO l’occasion de faire le point de ce qui nous arrive depuis ces évènements et d’ouvrir de nouvelles perspectives.
Je voudrais donc, Mesdames et Messieurs, chers amis, qu’au moment où nous commémorons la date de l’arrestation du Président Laurent GBAGBO, nous ayons une pensée pour toutes les victimes de la crise post-électorale. Je sais que dans la situation où il se trouve aujourd’hui, le Président pense plus à ceux qui sont tombés qu’à lui-même, à ses camarades, à ses compatriotes dont les vies sont brisées dans cette crise.
Je sais que le Président LAURENT GBAGBO n’est pas entré en politique pour voir les Ivoiriens souffrir ni a fortiori les voir mourir. Il est d’abord et foncièrement humaniste et sa grande générosité qui fait qu’il est autant aimé par les siens qu’il est respecté même par ses adversaires, est incompatible avec l’image que l’on a voulu donner de lui pour motiver le traitement injuste qui lui est fait.
La commémoration du 11 avril est donc instaurée par le Front Populaire Ivoirien pour dire au Président Laurent GBAGBO que ses camarades ne l’oublieront jamais, qu’ils se battent et qu’ils se battront tant qu’il est en détention, pour obtenir sa libération.
Cet engagement obéit, en ce qui me concerne personnellement à trois impératifs essentiels : un impératif moral, un impératif historique et un impératif politique.
Pour moi, avant d’être un leader politique, le fondateur du Front Populaire Ivoirien, le père de la démocratie ivoirienne, le Président Laurent GABGBO est d’abord un homme qui m’a adopté sans aucune considération d’ordre tribal, régionaliste ou religieuse. Il m’a fait très confiance, quand je me suis engagé au FPI en 1986 et m’a confié les plus hautes responsabilités qu’un chef de parti ou Chef d’Etat peut confier à un militant ou à un citoyen.
Pour ces raisons, le dossier du Président Laurent GABGBO est pour moi d’abord une question d’éthique et je refuse d’adopter à son égard une attitude démagogique. Je veux travailler à la libération du Président Laurent GBAGBO et non utiliser le nom du Président Laurent GBAGBO pour me faire un nom.
Merci donc à vous tous et à vous toutes qui êtes venu à notre invitation. Merci pour cette mobilisation exceptionnelle. Vous avez compris, et vous démontrez par votre présence que nous vivons des moments qui font de la libération du Président Laurent GABGBO un impératif historique.
L’arrestation et l’incarcération du Président Laurent GABGBO plombent l’évolution historique de la Côte d’Ivoire.
Où en est, en effet, le pays depuis le 11 avril 2011 ?
La disproportion entre les promesses d’avril 2011 et la situation que vit le pays est ahurissante. Loin de faire avancer la Côte d’Ivoire, la crise d’avril 2011 a fait reculer le pays. Les Ivoiriens s’interrogent. Les patriotes Africains s’interrogent. Des démocrates s’interrogent à travers le monde : Ce serait donc pour ce que nous voyons là qu’on a fait tout cela en 2011 ?
Depuis le 11 avril 2011, on s’occupe des infrastructures au détriment des hommes. On détruit les hommes pour construire les ponts. On détruit les hommes en détruisant leurs moyens d’existence.
Pour la beauté du paysage, des vies entières sont détruites sans ménagement, sans compensation adéquate.
Pour construire des ponts on détruit les hommes. On détruit leurs habitations. Il ne se passe pas un jour sans que des milliers de familles se retrouvent dans la rue, leurs effets personnels en baluchon sur la tête. Les plus chanceux trouvent refuge dans des églises ou des mosquées, les autres ne trouvent même pas de place sous les ponts.
Pour construire des ponts, on détruit les hommes. Les ivoiriens broient du noir au quotidien, ils sont de plus en plus pauvres. Les grèves se succèdent dans tous les secteurs d’activités. Les promesses de création d’emplois ne sont pas tenues. L’homme n’est rien. Il n’est pas la mesure de l’action politique. Pour construire des ponts on organise la faillite de l’Etat, on piétine les Institutions de la République, on détruit les valeurs fondamentales de la démocratie.
En commémorant le 11 avril, nous voulons dire que tout espoir n’est pas perdu. La Côte d’Ivoire doit sortir de cette situation et la voie, la seule voie viable, reste, pour le Front Populaire Ivoirien, la voie de la démocratie et de la réconciliation nationale.
Car il faut le dire tout net : le régime installé par les armes le 11 avril 2011 a échoué. Ils ont échoué parce qu’ils manquent de volonté politique et n’ont pas de capacité politique : pour réconcilier les ivoiriens et pour refonder l’Etat.
Il faut qu’en cette année 2015, les Ivoiriens leur signifient leur échec à l’occasion des élections générales.
En 2010 c’était les bulletins face fusils. En 2015, ce sera bulletin contre bulletin. Ce ne seront plus les armes qui vont imposer une direction au pays. Ce sera la volonté populaire qui va déterminer le destin de la Côte d’Ivoire.
2015 est une année cruciale pour le pays. Il faut que toute la Côte d’Ivoire soit au rendez-vous du droit contre la violence. Le Front Populaire Ivoirien sera présent à ce rendez-vous.
Les ambitions du FPI, dans cette bataille électorale qui s’annonce sont connues.
- Mettre fin aux souffrances des Ivoiriens ;
- Réconcilier les Ivoiriens à travers la libération du Président Laurent GABGBO ;
- Fonder une nouvelle espérance.
Pour fonder cette nouvelle espérance, le Front populaire Ivoirien doit être uni et rassemblé. C’est le thème de notre prochain congrès. Unis, rassemblé et mobilisé, le FPI est prêt pour la reconquête du pouvoir.
Je lance donc un appel solennel à tous nos camarades qui animent cette fronde incompréhensible et inopportune, de rejoindre la légalité.
La fronde et la défiance ne servent ni la cause du Président GBAGBO, ni les intérêts du FPI et de la Côte d’Ivoire. Chers Camarades, vos places vous attendent dans toutes les instances du parti. Vos camarades vous attendent les bras ouverts, dans l’oubli des offenses, dans le pardon mutuel.
Rassemblons-nous autour de Marcel Gossio et de son équipe pour la libération du Président Laurent Gbagbo. Ce noble combat exige la contribution de tous et un leadership avisé. J’ai choisi de confier la coordination des actions de lutte à Marcel GOSSIO pour les raisons qui ont été indiquées dans sa lettre de mission à savoir son attachement personnel au Président Laurent GBAGBO, ses capacités politiques, diplomatiques et managériales dont il a fait la démonstration au cour de sa brillante carrière professionnelle et politique.
Cher Camarade Marcel Gossio, la grande famille du FPI compte sur toi, les parents et amis de Laurent Gbagbo prient pour toi et avec toi, la Côte d’Ivoire entière espère avec toi, un jour nouveau pour la liberté avec Laurent Gbagbo ; pour les retrouvailles fraternelles et pour la Réconciliation nationale.
Vive la liberté,
Vive la Fraternité,
Vive l’unité nationale,
Vive le FPI,
Dieu nous bénisse et bénisse la Côte d’Ivoire notre cher pays.
Je vous remercie.
Pascal AFFI N’Guessan
Président du FPI
A l’occasion de la Commémoration de cette date le président du FPI ancien parti au pouvoir, AFFI NGUESSAN s’adresse aux ivoiriens.
- Camarades membres du Secrétariat Général ;
- Camarades membres du Comité Central ;
- Camarades membres du Comité de Contrôle ;
- Camarades membres de l’Organisation des Femmes du FPI (OFPI) ;
- Jeunesse du Front Populaire Ivoirien (JFPI) ;
- Camarades Secrétaires Généraux de Fédérations, de Sections et de bases ;
- Camarades Responsables et membres des structures d’activités du parti (CAE-FPI ; CAP-FPI ; le collectif des Coordinations …) ;
- Camarades militantes, camarades militants et sympathisants du FPI ;
- Honorables Chefs traditionnels, Chefs religieux et chefs de communauté ;
- Honorables invités ;
- Mesdames et Messieurs ;
- Chers frères et sœurs ;
Onze avril 2011 – 11 avril 2015. Il y a quatre ans, jour pour jour. Une coalition de forces rebelles et internationales arrêtaient le Président Laurent GBAGBO à Résidence Présidentielle de Cocody sous les bombes. Cet évènement montrait, non pas l’épilogue, mais l’ampleur de la crise ivoirienne.
Or donc l’enjeu de la guerre subie par la Côte d’Ivoire n’était ni l’élection présidentielle d’octobre – novembre 2010, ni la Paix et la sécurité en Côte d’Ivoire mais le changement du régime et l’installation d’un homme à la tête de l’Etat, par la guerre et la violence, contre les voies démocratiques. Car si la question était de savoir qui des deux candidats en lice au second tour avait remporté le scrutin, la réponse se trouvait dans les suffrages exprimés et non dans les balles et les bombes. Si l’enjeu était la paix, la sécurité et donc la stabilité, la réponse était dans le renforcement des Institutions de l’Etat, en respectant notamment l’arrêt du Conseil Constitutionnel proclamant la victoire du Président Laurent GBAGBO au lieu de fragiliser l’Etat en détruisant notamment l’armée nationale.
Que signifie donc, la commémoration du 11 avril dans ce contexte. Je trouve à cette cérémonie trois significations :
- Premièrement c’est un hommage aux victimes, à toutes les victimes ; les morts, les prisonniers, les réfugiés ; tous ceux et toutes celles dont le destin a basculé durant ces jours tristes de notre histoire ;
- Deuxièmement, nous célébrons ce jour, le combat politique du Président Laurent GBAGBO ;
- Enfin le 11 avril est pour nous, militants du Front Populaire Ivoirien, patriotes ivoiriens, démocrates d’ici et d’ailleurs, amis de la Justice de la Côte d’Ivoire et du Président Laurent GABGBO l’occasion de faire le point de ce qui nous arrive depuis ces évènements et d’ouvrir de nouvelles perspectives.
Je voudrais donc, Mesdames et Messieurs, chers amis, qu’au moment où nous commémorons la date de l’arrestation du Président Laurent GBAGBO, nous ayons une pensée pour toutes les victimes de la crise post-électorale. Je sais que dans la situation où il se trouve aujourd’hui, le Président pense plus à ceux qui sont tombés qu’à lui-même, à ses camarades, à ses compatriotes dont les vies sont brisées dans cette crise.
Je sais que le Président LAURENT GBAGBO n’est pas entré en politique pour voir les Ivoiriens souffrir ni a fortiori les voir mourir. Il est d’abord et foncièrement humaniste et sa grande générosité qui fait qu’il est autant aimé par les siens qu’il est respecté même par ses adversaires, est incompatible avec l’image que l’on a voulu donner de lui pour motiver le traitement injuste qui lui est fait.
La commémoration du 11 avril est donc instaurée par le Front Populaire Ivoirien pour dire au Président Laurent GBAGBO que ses camarades ne l’oublieront jamais, qu’ils se battent et qu’ils se battront tant qu’il est en détention, pour obtenir sa libération.
Cet engagement obéit, en ce qui me concerne personnellement à trois impératifs essentiels : un impératif moral, un impératif historique et un impératif politique.
Pour moi, avant d’être un leader politique, le fondateur du Front Populaire Ivoirien, le père de la démocratie ivoirienne, le Président Laurent GABGBO est d’abord un homme qui m’a adopté sans aucune considération d’ordre tribal, régionaliste ou religieuse. Il m’a fait très confiance, quand je me suis engagé au FPI en 1986 et m’a confié les plus hautes responsabilités qu’un chef de parti ou Chef d’Etat peut confier à un militant ou à un citoyen.
Pour ces raisons, le dossier du Président Laurent GABGBO est pour moi d’abord une question d’éthique et je refuse d’adopter à son égard une attitude démagogique. Je veux travailler à la libération du Président Laurent GBAGBO et non utiliser le nom du Président Laurent GBAGBO pour me faire un nom.
Merci donc à vous tous et à vous toutes qui êtes venu à notre invitation. Merci pour cette mobilisation exceptionnelle. Vous avez compris, et vous démontrez par votre présence que nous vivons des moments qui font de la libération du Président Laurent GABGBO un impératif historique.
L’arrestation et l’incarcération du Président Laurent GABGBO plombent l’évolution historique de la Côte d’Ivoire.
Où en est, en effet, le pays depuis le 11 avril 2011 ?
La disproportion entre les promesses d’avril 2011 et la situation que vit le pays est ahurissante. Loin de faire avancer la Côte d’Ivoire, la crise d’avril 2011 a fait reculer le pays. Les Ivoiriens s’interrogent. Les patriotes Africains s’interrogent. Des démocrates s’interrogent à travers le monde : Ce serait donc pour ce que nous voyons là qu’on a fait tout cela en 2011 ?
Depuis le 11 avril 2011, on s’occupe des infrastructures au détriment des hommes. On détruit les hommes pour construire les ponts. On détruit les hommes en détruisant leurs moyens d’existence.
Pour la beauté du paysage, des vies entières sont détruites sans ménagement, sans compensation adéquate.
Pour construire des ponts on détruit les hommes. On détruit leurs habitations. Il ne se passe pas un jour sans que des milliers de familles se retrouvent dans la rue, leurs effets personnels en baluchon sur la tête. Les plus chanceux trouvent refuge dans des églises ou des mosquées, les autres ne trouvent même pas de place sous les ponts.
Pour construire des ponts, on détruit les hommes. Les ivoiriens broient du noir au quotidien, ils sont de plus en plus pauvres. Les grèves se succèdent dans tous les secteurs d’activités. Les promesses de création d’emplois ne sont pas tenues. L’homme n’est rien. Il n’est pas la mesure de l’action politique. Pour construire des ponts on organise la faillite de l’Etat, on piétine les Institutions de la République, on détruit les valeurs fondamentales de la démocratie.
En commémorant le 11 avril, nous voulons dire que tout espoir n’est pas perdu. La Côte d’Ivoire doit sortir de cette situation et la voie, la seule voie viable, reste, pour le Front Populaire Ivoirien, la voie de la démocratie et de la réconciliation nationale.
Car il faut le dire tout net : le régime installé par les armes le 11 avril 2011 a échoué. Ils ont échoué parce qu’ils manquent de volonté politique et n’ont pas de capacité politique : pour réconcilier les ivoiriens et pour refonder l’Etat.
Il faut qu’en cette année 2015, les Ivoiriens leur signifient leur échec à l’occasion des élections générales.
En 2010 c’était les bulletins face fusils. En 2015, ce sera bulletin contre bulletin. Ce ne seront plus les armes qui vont imposer une direction au pays. Ce sera la volonté populaire qui va déterminer le destin de la Côte d’Ivoire.
2015 est une année cruciale pour le pays. Il faut que toute la Côte d’Ivoire soit au rendez-vous du droit contre la violence. Le Front Populaire Ivoirien sera présent à ce rendez-vous.
Les ambitions du FPI, dans cette bataille électorale qui s’annonce sont connues.
- Mettre fin aux souffrances des Ivoiriens ;
- Réconcilier les Ivoiriens à travers la libération du Président Laurent GABGBO ;
- Fonder une nouvelle espérance.
Pour fonder cette nouvelle espérance, le Front populaire Ivoirien doit être uni et rassemblé. C’est le thème de notre prochain congrès. Unis, rassemblé et mobilisé, le FPI est prêt pour la reconquête du pouvoir.
Je lance donc un appel solennel à tous nos camarades qui animent cette fronde incompréhensible et inopportune, de rejoindre la légalité.
La fronde et la défiance ne servent ni la cause du Président GBAGBO, ni les intérêts du FPI et de la Côte d’Ivoire. Chers Camarades, vos places vous attendent dans toutes les instances du parti. Vos camarades vous attendent les bras ouverts, dans l’oubli des offenses, dans le pardon mutuel.
Rassemblons-nous autour de Marcel Gossio et de son équipe pour la libération du Président Laurent Gbagbo. Ce noble combat exige la contribution de tous et un leadership avisé. J’ai choisi de confier la coordination des actions de lutte à Marcel GOSSIO pour les raisons qui ont été indiquées dans sa lettre de mission à savoir son attachement personnel au Président Laurent GBAGBO, ses capacités politiques, diplomatiques et managériales dont il a fait la démonstration au cour de sa brillante carrière professionnelle et politique.
Cher Camarade Marcel Gossio, la grande famille du FPI compte sur toi, les parents et amis de Laurent Gbagbo prient pour toi et avec toi, la Côte d’Ivoire entière espère avec toi, un jour nouveau pour la liberté avec Laurent Gbagbo ; pour les retrouvailles fraternelles et pour la Réconciliation nationale.
Vive la liberté,
Vive la Fraternité,
Vive l’unité nationale,
Vive le FPI,
Dieu nous bénisse et bénisse la Côte d’Ivoire notre cher pays.
Je vous remercie.
Pascal AFFI N’Guessan
Président du FPI