En Côte d’Ivoire, le président Alassane Ouattara affiche sa fermeté. A l’occasion d’une rencontre, ce week-end, avec certains représentants des familles des victimes, il a martelé que tous les criminels s’étant livrés à des exactions pendant la crise post-électorale de 2010-2011 dans le pays seraient jugés en Côte d’Ivoire. Un discours qu’il a voulu clair et net, refusant ainsi tout nouveau transfèrement à la Cour pénale internationale (CPI).
Ce dimanche, face aux victimes, le chef de l’Etat ivoirien a pris un ton solennel et définitif pour dire que dorénavant, c’est la justice ivoirienne et elle seule qui jugerait les crimes commis pendant la période 2010-2011. Cette crise, rappelons-le, a fait au moins 3 000 morts de part et d’autre des deux camps... suite de l'article sur RFI
Ce dimanche, face aux victimes, le chef de l’Etat ivoirien a pris un ton solennel et définitif pour dire que dorénavant, c’est la justice ivoirienne et elle seule qui jugerait les crimes commis pendant la période 2010-2011. Cette crise, rappelons-le, a fait au moins 3 000 morts de part et d’autre des deux camps... suite de l'article sur RFI