Madame le ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida, Raymonde Goudou Coffie, a présidé, le 13 avril, à l’Institut national de la santé publique d’Adjamé, un atelier de restitution de la 2è enquête régionale de l’Organisation Ouest-africaine de la santé et de l’Assurance qualité des soins des patients (OOAS-AQRS).
Face à la prévalence des évènements indésirables graves liés aux soins atteignant 30% à 60% et représentant la première cause de morbidité post-opératoire, la 2è cause de mortalité néonatale, la 3è cause de la mortalité maternelle et un facteur contributif des risques de contamination en matière de VIH et de transfusion sanguine en Afrique, les ministères de la Santé des pays africains et l’Organisation ouest-africaine de la santé (OOAS) ont adhéré, récemment à cette exigence en terme de qualité et de sécurité de soins.
Ils estiment inacceptable que des patients soient exposés à des risques sanitaires pouvant mettre en jeu leur pronostic vital à cause de leurs prestataires de soins dans les hôpitaux.
Afin d’apprécier l’ampleur du problème dans les pays de l’espace CEDEAO et d’identifier les principaux freins au développement de politiques nationales actives de promotion de l’assurance qualité des soins et de sécurité des patients, l’OOAS a décidé de l’organisation de la 2è étude régionale sur la qualité et la sécurité des soins, de gestion des risques et sécurité des patients en milieu de soin au niveau du système national de santé en Côte d’Ivoire.
Au cours de cet atelier d’un jour, il sera présenté la situation organisationnelle et règlementaire du dispositif national de qualité des soins et la situation de l’application technique du dispositif de qualité des soins.
Les forces et faiblesses du système de national de santé en appui au développement des concepts sur la qualité des soins seront analysées.
Le tout sera couronné de l’adoption de recommandations en vue d’améliorer la gestion des patients dans nos hôpitaux. Dr Goudou Coffie a salué la tenue de cet atelier dont les « résultats amélioreront la qualité des soins et de gestion des patients dans nos hôpitaux ».
Puis, elle a souligné que cette question est la bienvenue dans la mesure où « les populations ouest-africaines connaissent le même problème en matière de qualité de soins et de santé ».
Face à la prévalence des évènements indésirables graves liés aux soins atteignant 30% à 60% et représentant la première cause de morbidité post-opératoire, la 2è cause de mortalité néonatale, la 3è cause de la mortalité maternelle et un facteur contributif des risques de contamination en matière de VIH et de transfusion sanguine en Afrique, les ministères de la Santé des pays africains et l’Organisation ouest-africaine de la santé (OOAS) ont adhéré, récemment à cette exigence en terme de qualité et de sécurité de soins.
Ils estiment inacceptable que des patients soient exposés à des risques sanitaires pouvant mettre en jeu leur pronostic vital à cause de leurs prestataires de soins dans les hôpitaux.
Afin d’apprécier l’ampleur du problème dans les pays de l’espace CEDEAO et d’identifier les principaux freins au développement de politiques nationales actives de promotion de l’assurance qualité des soins et de sécurité des patients, l’OOAS a décidé de l’organisation de la 2è étude régionale sur la qualité et la sécurité des soins, de gestion des risques et sécurité des patients en milieu de soin au niveau du système national de santé en Côte d’Ivoire.
Au cours de cet atelier d’un jour, il sera présenté la situation organisationnelle et règlementaire du dispositif national de qualité des soins et la situation de l’application technique du dispositif de qualité des soins.
Les forces et faiblesses du système de national de santé en appui au développement des concepts sur la qualité des soins seront analysées.
Le tout sera couronné de l’adoption de recommandations en vue d’améliorer la gestion des patients dans nos hôpitaux. Dr Goudou Coffie a salué la tenue de cet atelier dont les « résultats amélioreront la qualité des soins et de gestion des patients dans nos hôpitaux ».
Puis, elle a souligné que cette question est la bienvenue dans la mesure où « les populations ouest-africaines connaissent le même problème en matière de qualité de soins et de santé ».