La salle de conférence du ministère de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant (MSFFE) a abrité mardi une rencontre entre le Cabinet ministériel et la Commission nationale pour la réconciliation et l’indemnisation des victimes (CONARIV) conduite par son président Monseigneur Siméon Ahouana. Au centre des échanges, la question de la consolidation des listes de victimes en vue de l’obtention d’un fichier unique, à partir duquel seront indemnisées les victimes des différentes crises qu’a connues le pays.
La ministre de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto a fait le point du travail déjà abattu par ses services dans ce sens. Ainsi il ressort de l’exposé du MSFFE qu’à ce jour 71813 victimes avaient été recensées. Précisant que le fichier informatif lui fait état de d’environ 7271 victimes. Parmi ceux-ci l’on enregistre 151 victimes handicapées ou ayant des impacts physiques du fait des crises. 20 d’entre elles présentent des cas jugés extrêmement préoccupants et nécessitant des actions en urgence. Elles sont donc admises à l’hôpital militaire d’Abidjan (HMA) afin d’y être prises en charge. Anne Ouloto a indiqué qu’une ligne budgétaire de 100 millions prévue par les soins du Ministère auprès du Premier Ministre en charge du Budget, servira à faire face à ces dont les traitements sont jugés urgents. Les responsables des Directions ayant u à charge la gestion de ce dossier ont été mis à la disposition de la CONARIV par la ministre Anne Ouloto en vue de l’aider si besoin en était.
Monseigneur Siméon Ahouana a remercié le MSFFE pour le travail abattu, ce qui contribuera à lui rendre la tâche plus aisée au regard de la mission qui est la sienne. Il a rappelé que dans l’immédiat, la CONARIV doit procéder à l’élaboration d’un fichier unique consolidé. « Il faut une liste unique consolidée, à partir de laquelle on va dresser une typologie », a-t-il dit. Monseigneur Ahouana a lancé un appel à toutes les bonnes volontés qui voudront se joindre à la CONARIV « pour la cause nationale ». « J lance un appel à toutes les personnes de bonne volonté car c’est un travail qu’on doit faire ensemble puisqu’il s’agit de l’intérêt national », a-t-il argué. Il a tenu à rassurer sur la détermination de la CONARIV à accomplir sa mission en toute transparence et responsabilité. « La CONARIV n’est pas un club d’amis. Elle est au service de la cause national et chaque membre se sent comme un missionnaire auprès des victimes », a-t-il martelé.
Les deux parties ont convenu de se retrouver pour poursuivre le travail en vu de réussir le pari de l’indemnisation des « véritables » victimes des différentes crises.
La ministre de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto a fait le point du travail déjà abattu par ses services dans ce sens. Ainsi il ressort de l’exposé du MSFFE qu’à ce jour 71813 victimes avaient été recensées. Précisant que le fichier informatif lui fait état de d’environ 7271 victimes. Parmi ceux-ci l’on enregistre 151 victimes handicapées ou ayant des impacts physiques du fait des crises. 20 d’entre elles présentent des cas jugés extrêmement préoccupants et nécessitant des actions en urgence. Elles sont donc admises à l’hôpital militaire d’Abidjan (HMA) afin d’y être prises en charge. Anne Ouloto a indiqué qu’une ligne budgétaire de 100 millions prévue par les soins du Ministère auprès du Premier Ministre en charge du Budget, servira à faire face à ces dont les traitements sont jugés urgents. Les responsables des Directions ayant u à charge la gestion de ce dossier ont été mis à la disposition de la CONARIV par la ministre Anne Ouloto en vue de l’aider si besoin en était.
Monseigneur Siméon Ahouana a remercié le MSFFE pour le travail abattu, ce qui contribuera à lui rendre la tâche plus aisée au regard de la mission qui est la sienne. Il a rappelé que dans l’immédiat, la CONARIV doit procéder à l’élaboration d’un fichier unique consolidé. « Il faut une liste unique consolidée, à partir de laquelle on va dresser une typologie », a-t-il dit. Monseigneur Ahouana a lancé un appel à toutes les bonnes volontés qui voudront se joindre à la CONARIV « pour la cause nationale ». « J lance un appel à toutes les personnes de bonne volonté car c’est un travail qu’on doit faire ensemble puisqu’il s’agit de l’intérêt national », a-t-il argué. Il a tenu à rassurer sur la détermination de la CONARIV à accomplir sa mission en toute transparence et responsabilité. « La CONARIV n’est pas un club d’amis. Elle est au service de la cause national et chaque membre se sent comme un missionnaire auprès des victimes », a-t-il martelé.
Les deux parties ont convenu de se retrouver pour poursuivre le travail en vu de réussir le pari de l’indemnisation des « véritables » victimes des différentes crises.