Odienné - La population de Mégbélé, dans la sous-préfecture de Samango a célébré, mardi, son retour à la sous-préfecture de Samango après 41 ans de conflit.
Le sou-préfet, Lath Esso Jacques a saisi l’occasion pour appeler les autres villages à suivre l’exemple pour une paix et une cohésion parfaite à Samango.
Le porte-parole de la notabilité du village de Megbélé, du canton Bôdjogo, M. Fanny Mori, a, au nom des populations, annoncé que les festivités marquent la fin des querelles et des malentendus entre leur village et les populations du chef-lieu de sous-préfecture de Samango.
Selon lui, à compter de ce jour, les populations se tiennent à la disposition de l’autorité administrative de Samango et sont prêtes à répondre à toutes les convocations du sous-préfet.
Lath Esso Jacques, tout en se disant heureux du retour de Mégbélé à Samango, a invité populations et cadres à cultiver l’entente, la cohésion sociale pour un développement harmonieux et durable de la sous-préfecture.
Pour lui, l’émergence prônée par le chef de l’Etat n’est possible que dans l’union, la paix et la cohésion sociale.
Depuis 1974, Mégbélé refusait son rattachement à Samango. Ce qui avait conduit à la fermeture de la sous-préfecture en 1982. Elle a rouvert en 2007, mais les vagues de contestations continuent et gagnent plusieurs autres villages comme Tougousso, Dabadougou-mafélé…, rappelle-t-on.
ss/akn/ask
Le sou-préfet, Lath Esso Jacques a saisi l’occasion pour appeler les autres villages à suivre l’exemple pour une paix et une cohésion parfaite à Samango.
Le porte-parole de la notabilité du village de Megbélé, du canton Bôdjogo, M. Fanny Mori, a, au nom des populations, annoncé que les festivités marquent la fin des querelles et des malentendus entre leur village et les populations du chef-lieu de sous-préfecture de Samango.
Selon lui, à compter de ce jour, les populations se tiennent à la disposition de l’autorité administrative de Samango et sont prêtes à répondre à toutes les convocations du sous-préfet.
Lath Esso Jacques, tout en se disant heureux du retour de Mégbélé à Samango, a invité populations et cadres à cultiver l’entente, la cohésion sociale pour un développement harmonieux et durable de la sous-préfecture.
Pour lui, l’émergence prônée par le chef de l’Etat n’est possible que dans l’union, la paix et la cohésion sociale.
Depuis 1974, Mégbélé refusait son rattachement à Samango. Ce qui avait conduit à la fermeture de la sous-préfecture en 1982. Elle a rouvert en 2007, mais les vagues de contestations continuent et gagnent plusieurs autres villages comme Tougousso, Dabadougou-mafélé…, rappelle-t-on.
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