Quelque 58 000 ivoiriens sont toujours en exil dans les pays de la sous-région, quatre ans après la crise postélectorale qui a fait plus de 3000 morts, a appris APA, jeudi, de source officielle à Tiassalé dans le Nord-Ouest d'Abidjan.
"Selon le Haut commissariat des Nations unies aux réfugiés (HCR), ils sont encore 58 000 personnes en exil dont 38 000 au Libéria", a déclaré le Chef de l'Etat ivoirien Alassane Ouattara qui échangeait avec les élus, cadres, religieux et chefs traditionnels de la région de l'Agnéby-Tiassa à l'occasion d'une visite d'Etat.
Par ailleurs, il a indiqué que le reste se trouve au Ghana, au Togo, au Mali et en Guinée. "Pour la Guinée, la fièvre Ebola a fait que nous avons fermé les frontières", a poursuivi le Chef de l'Etat.
"Nous savons que cette fièvre Ebola est maintenant maîtrisée par les pays de la sous-région", s'est félicité M. Ouattara annonçant que "nous pouvons maintenant reprendre l'organisation de leur retour".
"Nous mettons tout en œuvre pour que tous nos concitoyens qui le souhaitent pussent retourner au pays", a rassuré Alassane Ouattara, soulignant que "selon les statistique du HCR, près de 10 000 réfugiés devraient pouvoir rentrer d'ici la fin de l'année".
"Selon le Haut commissariat des Nations unies aux réfugiés (HCR), ils sont encore 58 000 personnes en exil dont 38 000 au Libéria", a déclaré le Chef de l'Etat ivoirien Alassane Ouattara qui échangeait avec les élus, cadres, religieux et chefs traditionnels de la région de l'Agnéby-Tiassa à l'occasion d'une visite d'Etat.
Par ailleurs, il a indiqué que le reste se trouve au Ghana, au Togo, au Mali et en Guinée. "Pour la Guinée, la fièvre Ebola a fait que nous avons fermé les frontières", a poursuivi le Chef de l'Etat.
"Nous savons que cette fièvre Ebola est maintenant maîtrisée par les pays de la sous-région", s'est félicité M. Ouattara annonçant que "nous pouvons maintenant reprendre l'organisation de leur retour".
"Nous mettons tout en œuvre pour que tous nos concitoyens qui le souhaitent pussent retourner au pays", a rassuré Alassane Ouattara, soulignant que "selon les statistique du HCR, près de 10 000 réfugiés devraient pouvoir rentrer d'ici la fin de l'année".