Abidjan – Le ministère auprès du président de la République chargé de la Défense organise ce vendredi un déjeuner de presse autour de l’implantation prochaine d’un Institut d’études stratégiques et de défense.
La question avait été évoquée par la hiérarchie militaire lors d’un séminaire consacré au bilan de l’année 2015 et des perspectives pour 2015, en février à Grand-Bassam.
Les participants avaient proposé que le gouvernement accède à la création d’un Institut d’études stratégiques et de défense et accueille le siège d’un Centre régional de sécurité maritime de l’Afrique de l’ouest tout comme l’ouverture d’une académie des métiers de l’air à Abidjan, rappelle-t-on.
Un tel institut pourrait, à l’instar de la France, réunir des responsables de haut niveau appartenant à la fonction publique civile et militaire et aux autres secteurs d’activité de la nation en vue d’approfondir en commun leur connaissance des grands problèmes de défense.
Ses auditeurs seraient appelés à conduire des études et des recherches et apporter son concours aux ministères et aux établissements d’enseignement supérieur et de recherche dans le domaine de la Défense et promouvoir les enseignements universitaires de défense en liaison avec le ministre chargé de l’Enseignement supérieur.
La menace terroriste dans le sahel et au Nigéria et la piraterie maritime ont convaincu les gouvernements africains d’agir en synergie à travers leurs outils de défense et de prévention, lors d’un sommet consacré au sujet début avril, à Malabo en Guinée Equatoriale.
(AIP)
aaa/akn/kam
La question avait été évoquée par la hiérarchie militaire lors d’un séminaire consacré au bilan de l’année 2015 et des perspectives pour 2015, en février à Grand-Bassam.
Les participants avaient proposé que le gouvernement accède à la création d’un Institut d’études stratégiques et de défense et accueille le siège d’un Centre régional de sécurité maritime de l’Afrique de l’ouest tout comme l’ouverture d’une académie des métiers de l’air à Abidjan, rappelle-t-on.
Un tel institut pourrait, à l’instar de la France, réunir des responsables de haut niveau appartenant à la fonction publique civile et militaire et aux autres secteurs d’activité de la nation en vue d’approfondir en commun leur connaissance des grands problèmes de défense.
Ses auditeurs seraient appelés à conduire des études et des recherches et apporter son concours aux ministères et aux établissements d’enseignement supérieur et de recherche dans le domaine de la Défense et promouvoir les enseignements universitaires de défense en liaison avec le ministre chargé de l’Enseignement supérieur.
La menace terroriste dans le sahel et au Nigéria et la piraterie maritime ont convaincu les gouvernements africains d’agir en synergie à travers leurs outils de défense et de prévention, lors d’un sommet consacré au sujet début avril, à Malabo en Guinée Equatoriale.
(AIP)
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