Le ministre auprès du Premier ministre, chargé de l’Economie et des finances, Kaba Nialé, invite les autorités américaines à consentir à des efforts pour inverser la tendance par rapport à l’épineuse question de l’inaccessibilité des produits de certaines Pme ivoiriennes au marché américain.
C’était à l’occasion de la 5ème édition du Forum sur les marchés de capitaux, qui se déroule à Washington, et à laquelle elle a été invitée. Le ministre ivoirien auprès du Premier ministre en charge de l’Economie et des finances a saisi l’occasion pour donner le secret du dynamisme de l’économie ivoirienne. Pour elle, les belles performances enregistrées par l’économie ivoirienne, depuis les quatre dernières années, découlent de la mise en œuvre d’une série de réformes initiées par le gouvernement ivoirien au niveau de la gestion des finances, de la politique fiscale et l’assainissement de l’environnement des affaires.
L’économie ivoirienne doit également son dynamisme à la part belle faite au partenariat public-privé dans la réalisation des projets structurants en matière d’infrastructures. Elle a aussi indiqué que l’apport du marché financier international auquel a recouru le gouvernement à travers les 2 Eurobonds en 2014 et 2015 a été capital dans la relance de l’économie ivoirienne. Inspirant désormais la confiance, les partenaires au développement n’ont pas hésité, selon elle, à accompagner la Côte d’Ivoire en finançant plusieurs projets sociaux, économiques, énergétiques, agricoles… Nialé Kaba s’est réjouie de ce que la performance réalisée par le gouvernement ivoirien, impacte toute la sous-région.
« Nous avons les règles de mobilité de capitaux dans la zone et la coopération avec l’Euro fait que notre zone a une certaine stabilité qui en fait un attrait pour les investissements. Il s’agit d’atout que nos pays œuvrent à maintenir et à renforcer, avec en perspective la création d’une zone encore plus grande et plus forte », a-t-elle indiqué. Avant d’énumérer quelques défis à relever pour rendre le secteur encore plus dynamique. Il s’agit notamment du faible taux d’épargne dans la zone qui se situe autour de 20 à 25%. Ce qui en fait l’un des plus faibles en Afrique. Kaba Nialé a déploré la difficulté qu’ont les Pme à accéder aux crédits bancaires. Le ministre Kaba Nialé séjourne actuellement dans la capitale américaine aux côtés du Premier ministre Daniel Kablan Duncan dans le cadre des Assemblées annuelles du Fmi et de la Banque mondiale.
Par FRANCOIS BECANTHY
C’était à l’occasion de la 5ème édition du Forum sur les marchés de capitaux, qui se déroule à Washington, et à laquelle elle a été invitée. Le ministre ivoirien auprès du Premier ministre en charge de l’Economie et des finances a saisi l’occasion pour donner le secret du dynamisme de l’économie ivoirienne. Pour elle, les belles performances enregistrées par l’économie ivoirienne, depuis les quatre dernières années, découlent de la mise en œuvre d’une série de réformes initiées par le gouvernement ivoirien au niveau de la gestion des finances, de la politique fiscale et l’assainissement de l’environnement des affaires.
L’économie ivoirienne doit également son dynamisme à la part belle faite au partenariat public-privé dans la réalisation des projets structurants en matière d’infrastructures. Elle a aussi indiqué que l’apport du marché financier international auquel a recouru le gouvernement à travers les 2 Eurobonds en 2014 et 2015 a été capital dans la relance de l’économie ivoirienne. Inspirant désormais la confiance, les partenaires au développement n’ont pas hésité, selon elle, à accompagner la Côte d’Ivoire en finançant plusieurs projets sociaux, économiques, énergétiques, agricoles… Nialé Kaba s’est réjouie de ce que la performance réalisée par le gouvernement ivoirien, impacte toute la sous-région.
« Nous avons les règles de mobilité de capitaux dans la zone et la coopération avec l’Euro fait que notre zone a une certaine stabilité qui en fait un attrait pour les investissements. Il s’agit d’atout que nos pays œuvrent à maintenir et à renforcer, avec en perspective la création d’une zone encore plus grande et plus forte », a-t-elle indiqué. Avant d’énumérer quelques défis à relever pour rendre le secteur encore plus dynamique. Il s’agit notamment du faible taux d’épargne dans la zone qui se situe autour de 20 à 25%. Ce qui en fait l’un des plus faibles en Afrique. Kaba Nialé a déploré la difficulté qu’ont les Pme à accéder aux crédits bancaires. Le ministre Kaba Nialé séjourne actuellement dans la capitale américaine aux côtés du Premier ministre Daniel Kablan Duncan dans le cadre des Assemblées annuelles du Fmi et de la Banque mondiale.
Par FRANCOIS BECANTHY