Le Président de la République SEM. Alassane Ouattara, accompagné de son épouse et de plusieurs ministres, a effectué le jeudi 16 avril 2015 une visite d’Etat dans la Région de l’Agneby-Tiassa au cours de laquelle, il a procédé à l’inauguration de l’hôpital St Jean-Baptiste dans la zone de Tiassalé, précisément dans la localité de Bodo.
Le président a rappelé que cette inauguration fait suite à celle de l’hôpital général de Gagnoa en 2013, à celle de l’hôpital général d’Adjamé en 2014 et à l’ouverture de l’hôpital St Joseph Moscati de Yamoussoukro en 2015. L’hôpital St Jean-Baptiste de Bodo vient ainsi renforcer le potentiel dont dispose déjà le pays en matière d’infrastructures sanitaires, s’est félicité le chef de l’Etat. C’est-à-dire 4 CHU, 17 CHR, 84 hôpitaux généraux et 2000 établissements sanitaires de premier contact. Cet ouvrage, selon le Président Ouattara, s’inscrit dans le cadre de la politique de décentralisation des infrastructures socioéconomiques et symbolise le fruit d’un partenariat public-privé gagnant-gagnant.
Il s’est félicité de l’aboutissement de ce partenariat entre l’Etat de Côte d’Ivoire et la compagnie fruitière de France à travers sa succursale ivoirienne appelée SCB (Société d’étude et de développement de la culture bananière), qui va contribuer à améliorer la qualité des réponses de santé à apporter aux populations. Ce projet, dont la pose de la première pierre a été faite le 12 février 2012 par Mme Dominique Ouattara, Première dame de Côte d’Ivoire - a été co-financé à hauteur de 6 milliards de FCFA par la Compagnie fruitière et le Gouvernement de Côte d’Ivoire à travers le contrat désendettement, développement (C2D) santé. L’investissement du Gouvernement ivoirien, d’un montant de près de 800 millions de FCFA, a porté sur le pôle mère-enfant afin de mieux aborder cette question spécifique et réduire les indicateurs liés à la mortalité et à la morbidité infantile.
Le Président Ouattara a indiqué que, c’est un ouvrage avec toutes les commodités requises et un excellent plateau technique qui est mis à la disposition des populations. Un hôpital qui est ouvert aux travailleurs de la compagnie, mais aussi aux populations de Côte d’Ivoire en général. « Il sera d’un recours inestimable en matière de prise en charge des victimes des accidents de la circulation. Il permettra aussi le décongestionnement des CHU d’Abidjan et de travailler en synergie avec le centre secours de N’Zianoua », a assuré le chef de l’Etat. Le Président a salué M. Robert Fabre, président de la compagnie pour son sens élevé de la générosité et du partage qui a permis la construction de cet hôpital.
Quant à M. Robet Fabre, il a indiqué que cet ouvrage est la reconnaissance d’une entreprise, qui depuis 1944, est implantée en Côte d’Ivoire. « En remettant cet hôpital entre les mains de l’Ordre de Malte pour sa gestion, il est entre de bonnes mains. Car, c’est une association d’utilité publique mondialement reconnue. Pour finir, il s’est dit heureux de la volonté du Président Ouattara de briguer un second mandat, car c’est un gage de stabilité pour les entreprises. Mme Raymonde Goudou Koffi, ministre ivoirienne de la Santé et de la Lutte contre le Sida a quant à elle, présenté l’Hôpital St Jean-Baptiste. Elle a indiqué qu’il s’agit d’un établissement hospitalier confessionnel, à but non lucratif participant au service public hospitalier.
Il a été principalement financé par la SCB à hauteur de 5 milliards de FCFA. Il s’agit d’un établissement à vocation généraliste qui va dispenser des soins dans les domaines de la chirurgie, de la gynéco-obstétrique et de la pédiatrie. L’hôpital a une capacité de 50 lits qui sera portée à 80-100 lits au fur et à mesure de sa montée en puissance. Il faut indiquer, la présence à cette cérémonie de Son Excellence le Prince de la Rochefoucauld-Monbel, Grand Hospitalier de l’Ordre Souverain de Malte qui a procédé, aux décorations de plusieurs personnalités ivoiriennes pour leur rôle dans la construction dudit hôpital.
Olivier Guédé,
envoyé spécial à Tiassalé
Le président a rappelé que cette inauguration fait suite à celle de l’hôpital général de Gagnoa en 2013, à celle de l’hôpital général d’Adjamé en 2014 et à l’ouverture de l’hôpital St Joseph Moscati de Yamoussoukro en 2015. L’hôpital St Jean-Baptiste de Bodo vient ainsi renforcer le potentiel dont dispose déjà le pays en matière d’infrastructures sanitaires, s’est félicité le chef de l’Etat. C’est-à-dire 4 CHU, 17 CHR, 84 hôpitaux généraux et 2000 établissements sanitaires de premier contact. Cet ouvrage, selon le Président Ouattara, s’inscrit dans le cadre de la politique de décentralisation des infrastructures socioéconomiques et symbolise le fruit d’un partenariat public-privé gagnant-gagnant.
Il s’est félicité de l’aboutissement de ce partenariat entre l’Etat de Côte d’Ivoire et la compagnie fruitière de France à travers sa succursale ivoirienne appelée SCB (Société d’étude et de développement de la culture bananière), qui va contribuer à améliorer la qualité des réponses de santé à apporter aux populations. Ce projet, dont la pose de la première pierre a été faite le 12 février 2012 par Mme Dominique Ouattara, Première dame de Côte d’Ivoire - a été co-financé à hauteur de 6 milliards de FCFA par la Compagnie fruitière et le Gouvernement de Côte d’Ivoire à travers le contrat désendettement, développement (C2D) santé. L’investissement du Gouvernement ivoirien, d’un montant de près de 800 millions de FCFA, a porté sur le pôle mère-enfant afin de mieux aborder cette question spécifique et réduire les indicateurs liés à la mortalité et à la morbidité infantile.
Le Président Ouattara a indiqué que, c’est un ouvrage avec toutes les commodités requises et un excellent plateau technique qui est mis à la disposition des populations. Un hôpital qui est ouvert aux travailleurs de la compagnie, mais aussi aux populations de Côte d’Ivoire en général. « Il sera d’un recours inestimable en matière de prise en charge des victimes des accidents de la circulation. Il permettra aussi le décongestionnement des CHU d’Abidjan et de travailler en synergie avec le centre secours de N’Zianoua », a assuré le chef de l’Etat. Le Président a salué M. Robert Fabre, président de la compagnie pour son sens élevé de la générosité et du partage qui a permis la construction de cet hôpital.
Quant à M. Robet Fabre, il a indiqué que cet ouvrage est la reconnaissance d’une entreprise, qui depuis 1944, est implantée en Côte d’Ivoire. « En remettant cet hôpital entre les mains de l’Ordre de Malte pour sa gestion, il est entre de bonnes mains. Car, c’est une association d’utilité publique mondialement reconnue. Pour finir, il s’est dit heureux de la volonté du Président Ouattara de briguer un second mandat, car c’est un gage de stabilité pour les entreprises. Mme Raymonde Goudou Koffi, ministre ivoirienne de la Santé et de la Lutte contre le Sida a quant à elle, présenté l’Hôpital St Jean-Baptiste. Elle a indiqué qu’il s’agit d’un établissement hospitalier confessionnel, à but non lucratif participant au service public hospitalier.
Il a été principalement financé par la SCB à hauteur de 5 milliards de FCFA. Il s’agit d’un établissement à vocation généraliste qui va dispenser des soins dans les domaines de la chirurgie, de la gynéco-obstétrique et de la pédiatrie. L’hôpital a une capacité de 50 lits qui sera portée à 80-100 lits au fur et à mesure de sa montée en puissance. Il faut indiquer, la présence à cette cérémonie de Son Excellence le Prince de la Rochefoucauld-Monbel, Grand Hospitalier de l’Ordre Souverain de Malte qui a procédé, aux décorations de plusieurs personnalités ivoiriennes pour leur rôle dans la construction dudit hôpital.
Olivier Guédé,
envoyé spécial à Tiassalé