Ouagadougou (Burkina) - La Banque mondiale s’est engagée à élaborer une politique de développement de l’industrie des transports de marchandises au Burkina Faso et en Côte d’Ivoire sur la période 2015-2017, a appris APA auprès de la représentation de l’institution financière à Ouagadougou.
Cette politique de développement de l’Industrie des transports entre les deux pays et du corridor de transit Abidjan-Ouagadougou est une première du genre à la Banque Mondiale.
Elle s’inscrit dans le cadre du processus de préparation d’un programme d’appui budgétaire régional d’un montant global de 200 millions de dollars, dont 100 millions de dollars pour chaque pays, sous forme de prêt.
« Elle constitue une étape importante du processus et marque l’engagement des deux pays à mettre conjointement en œuvre des reformes visant d’une part à la professionnalisation et à la modernisation du transport sur le corridor Burkina Faso/Côte d’Ivoire, et d’autre part à la facilitation des échanges en vue d’améliorer l’efficacité opérationnelle du secteur », selon la banque.
Les autorités des deux pays fondent l’espoir que l’initiative donne un coup d’accélérateur au secteur des infrastructures et des transports.
TT/od/APA
Cette politique de développement de l’Industrie des transports entre les deux pays et du corridor de transit Abidjan-Ouagadougou est une première du genre à la Banque Mondiale.
Elle s’inscrit dans le cadre du processus de préparation d’un programme d’appui budgétaire régional d’un montant global de 200 millions de dollars, dont 100 millions de dollars pour chaque pays, sous forme de prêt.
« Elle constitue une étape importante du processus et marque l’engagement des deux pays à mettre conjointement en œuvre des reformes visant d’une part à la professionnalisation et à la modernisation du transport sur le corridor Burkina Faso/Côte d’Ivoire, et d’autre part à la facilitation des échanges en vue d’améliorer l’efficacité opérationnelle du secteur », selon la banque.
Les autorités des deux pays fondent l’espoir que l’initiative donne un coup d’accélérateur au secteur des infrastructures et des transports.
TT/od/APA