Une délégation d’INTERPOL a rencontré, jeudi, à son cabinet d’Abidjan-plateau, la ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto, en vue de solliciter son appui pour la mise en œuvre d’un projet de six mois qui vise à lutter contre la traite des enfants dans la cacaoculture dans certains départements des régions de San-Pedro, de la Nawa et du Gboklè.
« Nous sommes venus présenter un projet de six mois, entre la Côte d’Ivoire et le Ghana en partenariat avec l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), en vue de lutter contre l’exploitation des enfants dans la cacaoculture, la prostitution des enfants, le trafic des êtres humains du côté de San-Pedro, Grand Béréby, Méagui, l’axe San-Pedro-Sassandra (…)", a expliqué le chef de délégation, Mikael Maran au terme de cette rencontre .
Il a ajouté par ailleurs qu’un autre projet de trois à cinq ans est en étude, en vue de mieux lutter dans la durabilité contre le phénomène de traite de personnes.
"Je m’inscris dans cette dynamique pour soutenir cette initiative", a souligné pour sa part Mme Ouloto, relevant que le gouvernement travaille depuis 2011 pour la mise en place de stratégies de lutte contre la traite des personnes qui inclut l’engagement de la Première dame Dominique Ouattara, le partenariat avec INTERPOL, plusieurs autres structures et des pays comme le Mali, le Ghana, le Burkina, le Liberia, Nigeria (…).
Elle a, en outre, affirmé, "nous soutenons ce projet et nous allons l’accompagner selon le mode opératoire d’INTERPOL". Anne Ouloto a insisté sur le besoin de mettre l’accent sur la sanction "des personnes ignobles" qui s’adonnent à l’exploitation et au trafic humain.
INTERPOL est une organisation internationale créée le 7 septembre 1923 dans le but de promouvoir la coopération policière internationale. Son nom complet est Organisation internationale de police criminelle (OIPC). Son siège est à Lyon en France.
Sa mission est de prévenir et de combattre la criminalité grâce à une coopération policière internationale renforcée, rappelle-t-on.
amak/akn/ask
« Nous sommes venus présenter un projet de six mois, entre la Côte d’Ivoire et le Ghana en partenariat avec l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), en vue de lutter contre l’exploitation des enfants dans la cacaoculture, la prostitution des enfants, le trafic des êtres humains du côté de San-Pedro, Grand Béréby, Méagui, l’axe San-Pedro-Sassandra (…)", a expliqué le chef de délégation, Mikael Maran au terme de cette rencontre .
Il a ajouté par ailleurs qu’un autre projet de trois à cinq ans est en étude, en vue de mieux lutter dans la durabilité contre le phénomène de traite de personnes.
"Je m’inscris dans cette dynamique pour soutenir cette initiative", a souligné pour sa part Mme Ouloto, relevant que le gouvernement travaille depuis 2011 pour la mise en place de stratégies de lutte contre la traite des personnes qui inclut l’engagement de la Première dame Dominique Ouattara, le partenariat avec INTERPOL, plusieurs autres structures et des pays comme le Mali, le Ghana, le Burkina, le Liberia, Nigeria (…).
Elle a, en outre, affirmé, "nous soutenons ce projet et nous allons l’accompagner selon le mode opératoire d’INTERPOL". Anne Ouloto a insisté sur le besoin de mettre l’accent sur la sanction "des personnes ignobles" qui s’adonnent à l’exploitation et au trafic humain.
INTERPOL est une organisation internationale créée le 7 septembre 1923 dans le but de promouvoir la coopération policière internationale. Son nom complet est Organisation internationale de police criminelle (OIPC). Son siège est à Lyon en France.
Sa mission est de prévenir et de combattre la criminalité grâce à une coopération policière internationale renforcée, rappelle-t-on.
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