Abidjan - "The African Institute for Mathematical Sciences (AIMS) condamne les violences xénophobes en Afrique du sud à l’instar des sociétés sud-africaines, des organisations non-gouvernementales et des diverses parties prenantes des secteurs publics et privés du monde entier qui ont dénoncé les récentes attaques contre les étrangers résidant dans ce pays.
L'AIMS a apporté son soutien au département sud-africain des sciences et de la technologie, au sein duquel le Ministre Naledi Pandor a déclaré, "sans l'expérience ni l'expertise de ces estimés collègues, originaires d'autres pays africains, qui ont aussi joué le rôle inestimable de mentors et de guides auprès des jeunes sud-africains, la science et la technologie ne seraient vraiment rien dans notre pays".
Il a rappelé que durant leur exil, résultant du refus de l'accès à l'éducation par le régime de l'apartheid, de nombreux scientifiques sud-africains ont bénéficié de formation et d'enseignement dans d'autres états africains.
"Au nom de l'AIMS, je suis profondément choqué et attristé par la récente violence xénophobe à l'égard des étrangers en Afrique du Sud, " a déclaré pour sa part le e fondateur de l'AIMS, le professeur sud-africain Neil Turok.
La violence xénophobe en Afrique du Sud a éclaté, il y a deux semaines, dans certains quartiers de Durban avant de se propager notamment dans le centre des affaires de Johannesburg.
ik/akn/ask
L'AIMS a apporté son soutien au département sud-africain des sciences et de la technologie, au sein duquel le Ministre Naledi Pandor a déclaré, "sans l'expérience ni l'expertise de ces estimés collègues, originaires d'autres pays africains, qui ont aussi joué le rôle inestimable de mentors et de guides auprès des jeunes sud-africains, la science et la technologie ne seraient vraiment rien dans notre pays".
Il a rappelé que durant leur exil, résultant du refus de l'accès à l'éducation par le régime de l'apartheid, de nombreux scientifiques sud-africains ont bénéficié de formation et d'enseignement dans d'autres états africains.
"Au nom de l'AIMS, je suis profondément choqué et attristé par la récente violence xénophobe à l'égard des étrangers en Afrique du Sud, " a déclaré pour sa part le e fondateur de l'AIMS, le professeur sud-africain Neil Turok.
La violence xénophobe en Afrique du Sud a éclaté, il y a deux semaines, dans certains quartiers de Durban avant de se propager notamment dans le centre des affaires de Johannesburg.
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