Le Premier ministre Daniel Kablan Duncan a procédé vendredi dans la commune de Marcory, au lancement des travaux de réhabilitation de la voirie urbaine d’Abidjan.
Le chef du Gouvernement ivoirien a indiqué que les travaux de réhabilitation de la voirie urbaine d’Abidjan s’inscrivent dans la mise en œuvre du premier Contrat de désendettement et de développement (C2D) signé avec la France. Il a par ailleurs rappelé que ce sont 20, 5 milliards de F CFA qui ont été investis dans les quartiers d’Abidjan depuis 2013 dans le cadre de la réhabilitation ou de l’ouverture de nouvelles voies. L’amélioration des infrastructures constituent un axe important de l’action du Gouvernement dans la marche vers l’émergence, a indiqué le Premier ministre. Il s’est par ailleurs félicité des importantes aides reçues de la part des partenaires au développement. Ce qui permet de renforcer les actions du Gouvernement dans les secteurs clés de l’économie ivoirienne.
L’Ambassadeur de France Georges Serre a quant à lui indiqué que l’appui de son pays aux actions du Gouvernement ivoirien s’inscrit dans le cadre de « la solidarité de la France envers un ami ». Selon lui ce sont 10 milliards de F CFA qui ont été pris en compte dans ce premier C2D concernant la réhabilitation de la voirie urbaine d’Abidjan. Indiquant que les communes d’Abobo et de Yopougon ont été choisies pour la construction de nouvelles voies. Le deuxième C2D prendra en compte la voirie générale de la ville d’Abidjan, a révélé le diplomate Français. A l’instar du Premier ministre Daniel Kablan Duncan, il a souhaité que les travaux de réhabilitation de la voirie urbaine d’Abidjan entraînent moins de nuisance pour les usagers et les populations. Georges Serre s’est réjouit de ce que ces travaux une fois achevés garantiront « la sécurité des femmes et des enfants ».
Le ministre des Infrastructures Economiques, Patrick Achi a rassuré le Premier ministre sur le respect du délai d’exécution des travaux dont 80% a été déjà réalisé. Il a surtout interpellé les maires des différentes communes sur la nécessité de s’investir dans l’assainissement, gage de la durabilité des infrastructures réalisées. Cela, a-t-il dit, passe par notamment le curage des voies d’évacuation des eaux usées, véritable ennemi des infrastructures routières.
Le chef du Gouvernement ivoirien a indiqué que les travaux de réhabilitation de la voirie urbaine d’Abidjan s’inscrivent dans la mise en œuvre du premier Contrat de désendettement et de développement (C2D) signé avec la France. Il a par ailleurs rappelé que ce sont 20, 5 milliards de F CFA qui ont été investis dans les quartiers d’Abidjan depuis 2013 dans le cadre de la réhabilitation ou de l’ouverture de nouvelles voies. L’amélioration des infrastructures constituent un axe important de l’action du Gouvernement dans la marche vers l’émergence, a indiqué le Premier ministre. Il s’est par ailleurs félicité des importantes aides reçues de la part des partenaires au développement. Ce qui permet de renforcer les actions du Gouvernement dans les secteurs clés de l’économie ivoirienne.
L’Ambassadeur de France Georges Serre a quant à lui indiqué que l’appui de son pays aux actions du Gouvernement ivoirien s’inscrit dans le cadre de « la solidarité de la France envers un ami ». Selon lui ce sont 10 milliards de F CFA qui ont été pris en compte dans ce premier C2D concernant la réhabilitation de la voirie urbaine d’Abidjan. Indiquant que les communes d’Abobo et de Yopougon ont été choisies pour la construction de nouvelles voies. Le deuxième C2D prendra en compte la voirie générale de la ville d’Abidjan, a révélé le diplomate Français. A l’instar du Premier ministre Daniel Kablan Duncan, il a souhaité que les travaux de réhabilitation de la voirie urbaine d’Abidjan entraînent moins de nuisance pour les usagers et les populations. Georges Serre s’est réjouit de ce que ces travaux une fois achevés garantiront « la sécurité des femmes et des enfants ».
Le ministre des Infrastructures Economiques, Patrick Achi a rassuré le Premier ministre sur le respect du délai d’exécution des travaux dont 80% a été déjà réalisé. Il a surtout interpellé les maires des différentes communes sur la nécessité de s’investir dans l’assainissement, gage de la durabilité des infrastructures réalisées. Cela, a-t-il dit, passe par notamment le curage des voies d’évacuation des eaux usées, véritable ennemi des infrastructures routières.