La Banque africaine de développement (BAD) annonce une nouvelle aide de 300 millions de dollars en faveur des programmes de relance post-Ebola des pays touchés par ce virus en Afrique de l’Ouest.
Le financement de la BAD aidera les gouvernements des pays affectés par Ebola à investir dans les secteurs de la santé, de l’éducation, de l’eau et de l’assainissement, de l’agriculture, ainsi que dans le secteur financier, selon un communiqué parvenu à Xinhua samedi.
"Ce n’est pas le moment de relâcher nos efforts", a déclaré le président de la BAD, Donald Kaberuka cité par le communiqué.
"Nous devons renforcer les soins de santé primaires en Afrique, réduire la dette des pays concernés, et nous préparer à repousser la prochaine épidémie", a-t-il ajouté.
Les deux nouvelles "opérations post Ebola" vont permettre de soutenir, entre autres, la création d’un centre d’excellence pour la surveillance et la prévention des épidémies sur le continent africain mais également améliorer l’accès aux services socio-économiques de base et accroître la capacité de production des pauvres.
La BAD a déjà décaissé 523 millions de dollars destinés à renforcer les secteurs de la santé et du transport dans les pays touchés.
Selon la Banque mondiale, l’épidémie d’Ebola continue à altérer sérieusement les économies des trois pays les plus affectés, à savoir la Guinée, la Sierra Leone et le Liberia, coûtant à leur PIB en 2015 une perte estimée à 2,2 milliards de dollars.
D’après les derniers chiffres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 28 nouveaux cas ont été confirmés en Guinée, neuf en Sierra Leone et aucun au Liberia début avril.
Au total, 25.791 cas ont été recensés en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone, entraînant quelque 10.600 décès depuis le début de l’épidémie en mars 2014.
Le financement de la BAD aidera les gouvernements des pays affectés par Ebola à investir dans les secteurs de la santé, de l’éducation, de l’eau et de l’assainissement, de l’agriculture, ainsi que dans le secteur financier, selon un communiqué parvenu à Xinhua samedi.
"Ce n’est pas le moment de relâcher nos efforts", a déclaré le président de la BAD, Donald Kaberuka cité par le communiqué.
"Nous devons renforcer les soins de santé primaires en Afrique, réduire la dette des pays concernés, et nous préparer à repousser la prochaine épidémie", a-t-il ajouté.
Les deux nouvelles "opérations post Ebola" vont permettre de soutenir, entre autres, la création d’un centre d’excellence pour la surveillance et la prévention des épidémies sur le continent africain mais également améliorer l’accès aux services socio-économiques de base et accroître la capacité de production des pauvres.
La BAD a déjà décaissé 523 millions de dollars destinés à renforcer les secteurs de la santé et du transport dans les pays touchés.
Selon la Banque mondiale, l’épidémie d’Ebola continue à altérer sérieusement les économies des trois pays les plus affectés, à savoir la Guinée, la Sierra Leone et le Liberia, coûtant à leur PIB en 2015 une perte estimée à 2,2 milliards de dollars.
D’après les derniers chiffres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 28 nouveaux cas ont été confirmés en Guinée, neuf en Sierra Leone et aucun au Liberia début avril.
Au total, 25.791 cas ont été recensés en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone, entraînant quelque 10.600 décès depuis le début de l’épidémie en mars 2014.