Un fait tragique défraie la chronique depuis le dimanche 19 avril dernier, à Logbakro, village de la commune de Yamoussoukro, et ce, depuis la mort de K. N.V. Selon des sources, celui-ci aurait été tué avant d’être jeté dans un cours d’eau. Mais les enquêtes des parents de la victime ont permis d’en savoir un peu plus. C’était dans la soirée du dimanche 19 avril, aux environs de 15 heures, que K. N.V., un vigile installé à Logbakro depuis deux ans a été invité par un jeune dudit village du nom de A.Y, en vue de découvrir son aviculture située à quelques encablures du village. V K. N.V. qui ne voudrait pas être seul s’est fait accompagner par sa concubine, dame K.C. pour répondre à l’invitation d’A.Y. qui lui a promis une soupe de poulet à la ferme. Mais, une fois sur les lieux, le cercle d’amis s’élargit avec la présence de quatre autres personnes. Après un premier ‘’Kédjénou’’ de poulet bien arrosé, A.Y. demande au jeune vigile de l’accompagner au barrage pour y puiser de l’eau.
Quant à la concubine, elle s’était occupée de la cuisson. Ce qu’elle accepte. Et voilà son chéri K. N.V.et ses amis qui s’enfoncent dans la savane. Les minutes d’après, elle entend un cri strident qui déchire le silence du crépuscule. «Que se passe-t-il ? J’entends des cris… », s’inquiète la jeune dame qui cherche à en savoir davantage. Mais, un autre ami commis pour rester en sa compagnie l’en dissuade. Le temps passe et aucune nouvelle du groupe parti à la rivière. Vers 19 heures, indique notre source, le groupe d’amis revient à la ferme, mais sans K. N.V.. Une situation qui ne manque pas d’intriguer la jeune dame qui avait déjà des soupçons. Mais, A.Y. a les mots justes pour rassurer la jeune dame. « Il est parti faire d’autres courses, il a promis nous retrouver au village », a-t-il soutenu. C’est dans cette confusion totale que K.C rejoint le village. Jusqu’au couché, pas de ami. A 23, elle est tirée de son sommeil par un habitant qui l’informe qu’elle est demandée par le chef du village. Sur place, il lui est annoncé le décès de son concubin par noyade. Le lendemain lundi, les parents de la victime, venus d’Angoda, sont également informés d’une ‘’mort par noyade’’.
Mais sous le feu des questions, la chefferie se montre peu convaincante. «Où se trouve le corps ? », s’est-elle inquiétée. «Est-ce qu’il y a eu un constat avec la police en présence de médecin légiste ? » «Comment le corps est-il arrivé à la morgue ? ». Autant de questions qui n’ont pas trouvé réponses satisfaisantes auprès de leurs interlocuteurs. Ce faisant, l’oncle du défunt, Bertin Adjoussou a décidé de se rendre à la morgue. Mais, le spectacle qui se présente à lui est loin d’être une noyade. Le coup du défunt est brisé, l’œil tuméfié avec de grosses entailles. Pour lui, son neveu a été tué avant d’être jeté dans la rivière. Pour réclamer justice, il a saisi la police avant d’informer, jeudi dernier, le chef du bureau des Droits de l’Homme de l’Onuci à Yamoussoukro. Mais, coup de théâtre, le chef du bureau, Hubert Chabi, est empêché de voir le corps à la morgue. L’oncle du défunt qui a reçu plusieurs tracasseries à l’hôpital régional et à la police autour de cette mort violente prend, l’opinion à témoin.
Ostine Déward à Yamoussoukro
Quant à la concubine, elle s’était occupée de la cuisson. Ce qu’elle accepte. Et voilà son chéri K. N.V.et ses amis qui s’enfoncent dans la savane. Les minutes d’après, elle entend un cri strident qui déchire le silence du crépuscule. «Que se passe-t-il ? J’entends des cris… », s’inquiète la jeune dame qui cherche à en savoir davantage. Mais, un autre ami commis pour rester en sa compagnie l’en dissuade. Le temps passe et aucune nouvelle du groupe parti à la rivière. Vers 19 heures, indique notre source, le groupe d’amis revient à la ferme, mais sans K. N.V.. Une situation qui ne manque pas d’intriguer la jeune dame qui avait déjà des soupçons. Mais, A.Y. a les mots justes pour rassurer la jeune dame. « Il est parti faire d’autres courses, il a promis nous retrouver au village », a-t-il soutenu. C’est dans cette confusion totale que K.C rejoint le village. Jusqu’au couché, pas de ami. A 23, elle est tirée de son sommeil par un habitant qui l’informe qu’elle est demandée par le chef du village. Sur place, il lui est annoncé le décès de son concubin par noyade. Le lendemain lundi, les parents de la victime, venus d’Angoda, sont également informés d’une ‘’mort par noyade’’.
Mais sous le feu des questions, la chefferie se montre peu convaincante. «Où se trouve le corps ? », s’est-elle inquiétée. «Est-ce qu’il y a eu un constat avec la police en présence de médecin légiste ? » «Comment le corps est-il arrivé à la morgue ? ». Autant de questions qui n’ont pas trouvé réponses satisfaisantes auprès de leurs interlocuteurs. Ce faisant, l’oncle du défunt, Bertin Adjoussou a décidé de se rendre à la morgue. Mais, le spectacle qui se présente à lui est loin d’être une noyade. Le coup du défunt est brisé, l’œil tuméfié avec de grosses entailles. Pour lui, son neveu a été tué avant d’être jeté dans la rivière. Pour réclamer justice, il a saisi la police avant d’informer, jeudi dernier, le chef du bureau des Droits de l’Homme de l’Onuci à Yamoussoukro. Mais, coup de théâtre, le chef du bureau, Hubert Chabi, est empêché de voir le corps à la morgue. L’oncle du défunt qui a reçu plusieurs tracasseries à l’hôpital régional et à la police autour de cette mort violente prend, l’opinion à témoin.
Ostine Déward à Yamoussoukro